XLOVE59-BOY

un texte erotique

Il était la allongé nu sur le lit ses yeux fermés presque endormis

La ou j étais positionné je voyais les courbes légères tant convoitées

Je pouvais suivre le tracé de son corps allongé à la lune dorée

Ses jambes écartées sur le drap de soie froissée(blog xlove59-boy copier coller)

Ses mains posées sous sa nuque qui formait son oreiller

Son torse musclé montait et descendait a sa respiration cadencée

Il était beau dans ce décor sans oripeaux cachant sa peau

Je voyais son sommeil agité par son corps qui se trémoussait

De temps à autre il gémissait doucement et se rendormait calmement

Puis peu a peu de mon observation j assistais à une belle érection

Son membre s étirait progressivement jusqu’à darder joliment

Inconscient encore il posa sa main en éventail qui trouva son chemin

Il grognait dans son demi sommeil il aimait caresser sa merveille

Il était fier de ce phallus qui saluait ma bienvenue

Il s éveillait peu a peu sentant le désir montait a ses reins creux

J étais installée sur la méridienne face a son lit comme une souveraine

Entre ses longs cils de soie il me sourit presque narquois

La scène se jouait devant une spectatrice médusait

Alors il roula ses doigts autour de sa tige dure devant moi

La masturbant si délicatement que je voyais chaque mouvement

L autre de ses (ceci et un copier coller du blog xlove59-boy)      mains attrapa ses bourses et les massa jusqu’ à ce qu’il en trémousse

Il flirtait maintenant avec mon regard gourmand

Il s avait me troubler ainsi quand il se caressait seul alanguis

A force de se caresser ainsi la tète de son gland devenait si gluant

Sa hampe nerveuse ou se dessinait chaque nervure bandait

Quel spectacle de sensualité il m offrait dans cette chambre d un été

Au bout d un moment son corps s arque bouter et ses soupirs presque crier

Il venait de ses reins les ondes de plaisir qui enfiévrait encore son désir

Il accélérait ses mouvements autour de sa hampe, pinçant entre temps ses bourses pesantes

Oh je voyais son regard qui se voilait sa main qui se crispait a sa tige bandait

Dans un dernier soupir, il m offrit alors son plaisir

Par petits jets son sperme se coula sur ses doigts

Sa respiration s en accéléra et son corps devint alors le temple de son aura

Il frissonna légèrement et se couvrit du drap gracieusement


Poussi,

Oh le coquin !

Il avait sa main sur mon corsage

Une main légère et volage

Ses doigts jouaient avec mes tetons

Et je sentais se frissonner mes mamelons

Il s appliquais vraiment ce coquin

A me faire soupirer de sa main

Et le voila qu’il se permettait de descendre

Sur mon ventre qui ondulait sans attendre

Oh il avait ce regard joyeux dans les yeux

Quand il savait qu’il toucherait mon pubis soyeux

Sa bouche gourmande se posait sur ma hanche

Léchait ce morceau de peau toute blanche

Que mon string ne cachait pas aux regards envieux

Il tirait de deux doigts malins mon antre juteux

Pour glisser sa langue fiévreuse à mon coquillage

Il le suçait et l étirer comme le plus doux des otages

Il faisait avec sa langue la valse de mes gémissements

Se nourrissait de mes soupirs inlassablement

Il était le prince de ma jouissance dans ce lit

Fit la conquête de mon corps toute la nuit

Il était avec moi en unisson de nos peaux

Pour finir dans mes bras méritant son salvateur repos

xlove59-boy@hotmail.fr



28/12/2007
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