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avant l epreuve...

Avant l'épreuve

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année

Avec : Harry Potter, Hermione Granger





« Encore un livre inutile ! »

Hermione referma sèchement le lourd volume de « Nos amis les animaux dangereux » en poussant un soupir indigné. Harry ne leva même pas la tête. Il avait tellement de mal à comprendre son propre bouquin qu’il ne pouvait se permettre d’en détacher les yeux pour voir à nouveau le visage d’Hermione exaspéré de n’avoir encore rien trouvé. Il eut vaguement conscience qu’elle se levait à la recherche d’un autre ouvrage tandis qu’il fronçait les sourcils sur un chapitre consacré aux dragons venimeux.

Mais bien qu’il observait la liste des différents poisons connus des dragons, il n’arrivait pas à en comprendre plus que les deux premières lignes qu’il avait déjà relues plus d’une dizaine de fois. Ses pensées lui échappaient alors et se tournait vers le Magyar à pointes que lui avait montré Hagrid. Ses dents tranchantes et ses hurlements furieux semblaient détruire chaque parcelle de sa concentration. Puis réalisant qu’il partait dans des rêveries bien futiles en cet instant, il replongeait d’un air boudeur sur la liste des poisons, pensant qu’il ne parviendrait jamais à sortir vivant de la première épreuve du tournoi des trois sorciers.

Il relut à nouveau les deux premières lignes alors qu’il sentit Hermione s’asseoir à nouveau et poser un lourd volume sur la table. Harry pensa que Ron leur aurait été bien utile pour avancer dans leurs recherches. Mais ils ne se parlaient plus et Harry ne voulaient pas aller lui demander de l’aide tant qu’il ne reconnaîtrait pas ses torts. Seule Hermione avait cru sans lui poser de questions qu’il n’avait pas mis son nom dans la coupe de feu. Ils avaient déjà passé des heures interminables à la bibliothèque pour découvrir un quelconque moyen de venir à bout d’un dragon. Pourtant Hermione n’était pas dispensée d’examen par le tournoi, contrairement à Harry, et il voyait bien qu’elle s’épuisait peu à peu entre ses propres études et les recherches pour lui sauver la vie.

Harry reprit soudain conscience de n’avoir toujours pas lu plus des deux premières lignes de son paragraphe et se remit à sa lecture d’un air paniqué. Mais malgré tous ses efforts, lorsque d’exception les dragons ne s’imposaient pas à son esprit, d’autres images toutes aussi perturbantes ne cessaient de lui revenir en mémoire. Ses camarades qui ne cessaient de se détourner de lui, les professeurs qui, l’air de rien, lui en voulaient d’avoir entaché la réputation de l’école, les fichus badges des serpentards, Fleur Delacour qui le considérait comme un enfant, Rita Skeeter qui pondait des articles farfelus sur sa vie.

Harry s’énervait peu à peu et constatait qu’il n’arrivait même plus à finir les deux premières lignes. Il referma brutalement son livre pour s’accorder une pause. La bibliothèque lui parut incroyablement sombre. Plongé dans son livre et ses pensées, il n’avait même pas remarquer l’heure qui tournait. Il était tard. La bibliothèque était déserte et silencieuse. Madame Pince devait être occupée à reclasser quelques livres dans la réserve. Hermione s’était endormie. Egalement épuisé, Harry ne put rien faire d’autre que de la regarder, avachi sur sa chaise. Sa tête reposait sur un ouvrage impressionnant concernant « Les situations périlleuses et leurs petits inconvénients ». Elle avait l’air paisible tandis que son souffle lent faisait frémir quelques cheveux égarés près de ses lèvres. Pendant de longues minutes, Harry ne trouva pas la force de faire quoi que ce soit d’autre que d’observer son visage sur lequel dansaient des ombres au gré de la lumière d’une petite lanterne qu’elle avait dû allumer un peu plus tôt. Il éprouvait plus de tranquillité et de plaisir à regarder le charmant tableau qu’il n’en avait ressenti depuis de longues semaines.

Harry entendit le grincement du parquet non loin. Madame Pince approchait sûrement et les chasserait dès qu’elle les trouverait. Bien qu’ils n’étaient pas encore en infraction avec le règlement, Harry ne voulait pas voir Hermione se réveiller et il se leva vivement pour souffler la flamme de la lanterne. Ils se trouvaient dans un recoin entouré d’étagères encombrées que les élèves voulant travailler dans le calme connaissaient bien et Harry espérait que l’absence de lumière encouragerait la bibliothécaire à ne pas trop pousser son investigation. En effet, elle tourna à peine la tête vers eux et continua son chemin, les laissant dans l’ombre. Harry se releva et s’avança doucement pour s’assurer qu’elle ne reviendrait plus par ici puis se tourna à nouveau vers la table de travail.

Seule la lune berçait désormais la scène de sa lumière diffuse. Elle donnait un air irréel à la rêveuse, moitié nimbée de lumière et moitié nimbée d’ombre. Son visage semblait figé comme celui d’une statue de marbre. Harry prit appui sur la table, l’observant du dessus et ne put s’empêcher de le toucher. De ses doigts il fit glisser ses caresses sur la peau soyeuse de sa joue, repoussant les quelques cheveux égarés pour descendre sur son cou délicat. Il appréciait la douce chaleur de la chair tandis qu’un sourire léger se dessinait inconsciemment sur les lèvres de l’endormie. Elle bougea un peu. L’une de ses mains glissa du livre sur la table. Ses doigts fins se posèrent tels des papillons sur la main de Harry qui se sentit frémir malgré lui. Il s’abaissa un peu plus et ses lèvres goûtèrent tendrement le cou offert. Sans vraiment être conscient de ce qu’il était en train de faire, il remonta peu à peu entre la lumière et l’ombre qui le menait droit aux lèvres scintillantes desquelles s’échappait encore un souffle fragile. Il s’arrêta lorsque leurs deux bouches se rencontrèrent et savoura ce tendre instant sans plus se soucier de rien d’autre.

Hermione s’éveilla lentement, en proie à des sensations étranges. Elle sentait des lèvres sur les siennes et une main voguant tendrement sur ses cheveux et son dos. Elle ouvrit les yeux pour apercevoir des lunettes et une cicatrice en forme d’éclair qui semblait luire sous la faible lumière de la lune. Elle n’eut pas besoin de plus pour comprendre ce qui arrivait et n’eut que quelques secondes pour se décider entre se retirer dans une indignation de mise ou se laisser aller à la douceur du moment. Elle avança une main résolue vers la joue de Harry qu’elle caressa tendrement en collant un peu plus ses lèvres sur les siennes. Elle le sentit frémir de surprise mais il ne rompit pas le délicieux contact.

Ils se redressèrent finalement l’un et l’autre en séparant leurs bouches satisfaites. Harry eut un petit sourire maladroit.

« Excuse-moi Hermione ! Je ne sais pas trop ce qui m’a prit.
_ Moi je le sais. Tu as peur Harry ! Oh, je ne dis pas que tu n’es pas courageux, ajouta-t-elle rapidement, mais la première épreuve s’annonce bien terrible et il est légitime d’avoir peur en un tel instant, qui que l’on soit.
_ Oui, c’est vrai. Quand je t’embrassais j’ai même pensé que ce serai peut être mon dernier baiser. »

Les ombres envahissaient le visage de Harry à tel point qu’Hermione avait bien du mal à discerner ses traits. Mais sa voix grave ne laissait aucun doute sur le sérieux de ce qu’il disait. Elle se leva, s’approcha d’Harry et lui prit doucement la main.

« En ce cas tu n’aurais pas dû m’embrasser pendant que je dormais. Maintenant donne-moi un vrai baiser. »

    Harry tourna lentement la tête vers elle. Son visage à contre-jour était indicible mais il croisa son regard et il se perdit dans ses yeux sombres, le suppliant d’accepter leur requête. Il l’entoura alors de ses bras et prit passionnément ses lèvres comme s’il n’avait jamais rien goûté de plus délicieux. Hermione passa ses mains dans son dos et se serra contre lui. Elle fit une légère pression sur Harry pour qu’ils pivotent, comme s’ils dansaient sur un rythme particulièrement lent, et elle se trouva dos contre la table sur laquelle elle s’assit. Lorsqu’ils se séparèrent à nouveau, Harry sentit les jambes d’Hermione autour des siennes. Il était pris dans l’éternel piège de la volupté et il l’embrassa à nouveau avec un léger sourire. Hermione enserra alors sa taille ce qui fit remonter sa robe jusqu’aux genoux tel un lever de rideau.

Harry sentait le désir animer chaque parcelle de leurs corps enlacés. Il ne savait plus vraiment ce qui le faisait agir de la peur ou de la tendresse, mais il savait qu’il ne voulait à aucun prix s’éloigner de la table. Il fit glisser ses mains jusqu’à la frontière de l’étoffe et passa dessous avec lenteur. Il sentit la respiration d’Hermione devenir plus rapide tandis qu’il savourait la peau satinée de ses cuisses et que leurs lèvres parcouraient leurs cous et leurs visages. Il avança sur son ventre qui émanait d’une voluptueuse chaleur et qui se contracta d’abord avant de se radoucir, autorisant la course de ses caresses à aller plus avant. Il rencontra alors les deux globes de chair, jeunes et fermes, enfermés dans une douce prison de tissu fin dont il les libéra sans attendre afin de goûter à la peau tendre et fraîche qu’aucune étoffe n’égalerait jamais.



Hermione soupirait doucement sous chaque délicate caresse de Harry tandis que ses mains s’aventuraient vers l’échancrure de son pantalon. Un à un, elle fit voler les boutons qui retenaient les désirs virils. L’une de ses mains passa sous le tee-shirt de Harry et reconnaissait de ses tendres caresses le torse oscillant entre l’enfance et la maturité. Son autre main s’élança dans la direction opposée pour faire bénéficier le mat de chair de ses plus charmantes attentions. Bien qu’il fut déjà fièrement dressé, elle le sentit grandir sous ses doigts souples et habiles et, à chacune de ses pressions savamment mesurées, elle sentait les gestes des mains sur sa tendre poitrine s’intensifier.

Elle entoura alors le cou de Harry de ses bras et l’entraîna tout entier sur la table. Il comprit ce qu’elle attendait et, tout en savourant la peau de son ventre avec ses lèvres il fit glisser la robe et libéra toute sa beauté. Il ne put alors s’empêcher d’arrêter ses caresses. Ce corps. Les ombres tentaient vainement de voiler les courbes jeunes et graciles, mais le faible éclat de la lune lui révélait encore une partie des merveilles qui lui était si généreusement offertes. Il la contempla ainsi quelques secondes qui lui parurent s’étirer dans une éternité irréelle. Puis une main se posa sur son bras. Il fut ramené à l’instant présent, face à Hermione qui le couvait d’un regard tendre, face à ce corps qu’il désirait à peine révélé. Elle lui enleva son tee-shirt tandis qu’il avançait la tête pour embrasser son ventre doux et chaud. Il fit glisser sa langue vers le bas ventre, sentant qu’elle lui enlevait désormais son pantalon, et il rencontra un bout de tissu. Avec délicatesse, il retira la dernière faible barrière qui retenait le plus beau des trésors. Alors qu’il était sur le côté, il se laissa aller sur le dos et attira Hermione sur lui.

Il n’avait pas encore bu à sa source qu’il en était déjà enivré. Il laissa sa langue découvrir à loisir le moindre repli de l’intimité frémissante de désir, tandis que la bouche d’Hermione prodiguait les attentions les plus délicates à son membre. Chacun savourait le corps de l’autre. Leurs peaux se frottaient au rythme de l’assouvissement de leur désir. Au-delà des mains, la moindre parcelle de leurs corps s’appliquait dans de tendres caresses. Harry faisait glisser ses mains sur la peau enfiévrée du dos. Il empoigna délicatement les petites fesses, collines soyeuses qu’il ne se lassait pas de gravir, et se mit à les masser délicatement au rythme de sa langue sur le petit bouton d’amour. Il sentit la jeune poitrine d’Hermione se faire cajoleuse autour de son sexe tandis que la petite bouche gourmande enserrait toujours son gland. Il se sentit submergé par une vague de plaisir qu’aucun barrage n’aurait pu stopper et qui se répandit dans la gorge de la jeune fille. Il la sentit se raidir à son tour et soudain il but à grandes gorgées un flot de son jus de plaisir qui l’abreuvait avec la force d’un torrent sauvage.

Ils restèrent longtemps à savourer leurs nectars intimes. Puis Harry déposa délicatement Hermione sur la table et s’avança vers elle pour prendre ses lèvres d’un baiser passionné. Un courant d’air froid traversait la bibliothèque et venait par vagues frapper les deux jeunes amants. Mais Harry et Hermione l’ignoraient sans mal. A ce moment, aucun feu n’aurait pu les réchauffer plus que leurs deux corps enlacés, que leurs deux langues emmêlées. Par de précieuses caresses, Hermione rendait peu à peu toute sa vigueur au membre viril. Elle le sentait se presser contre son ventre avec une insistance grandissante. Harry n’avait cesser d’être en elle et appréciait le doux écrin de ses doigts. Leurs lèvres ne semblaient plus vouloir se séparer.

Hermione se tourna lentement, gardant Harry tout contre elle. Il sentait la chaleur qui se dégageait de ce corps si tendre. Il prit les petits seins dans ses mains, les caressants comme des pierres précieuses et fragiles. Tout contre son membre, il sentait la source secrète d’Hermione qui l’avait presque happé et l’invitant à la découvrir avec douceur. Harry se serra un peu plus contre elle. Il la sentit se cambrer soudain et entendit un faible gémissement lorsqu’il pénétra au plus profond de son trésor intime. Leur désir si ardent devint alors plaisir bouillonnant.

A chacun de ses mouvements, il la voyait se tendre un peu plus. Sa tête basculait en arrière offrant de plus belle sa gorge enfiévrée qu’il accepta sans tarder de sa langue. Elle venait au devant de ses assauts, l’incitant silencieusement à se faire plus sauvage. La chaleur se faisait étouffante. Seul leur plaisir leur permettait de respirer. Ils sentaient tous deux leurs corps leur échapper pour sombrer dans la délicieuse folie de la jouissance. Harry était à peine conscient que ses mains admiraient toujours les jeunes rondeurs de la poitrine où des gouttes de sueur s’écoulaient en petits ruisseaux au rythme de leur étreinte. Le membre qui pénétrait son amie en revanche ne lui appartenait plus. Il lui aurait été impossible d’arrêter ses coups de reins qui éveillait en lui un peu plus de bestialité sous chaque cri de plaisir d’Hermione qu’ils parvenaient à lui arracher.

Sous une soudaine impulsion de la jeune fille, ils se redressèrent sans se quitter. Harry se mit à genoux, assit sur ses talons tandis qu’Hermione se retrouvait sur lui et prenait sa tête entre ses bras pour la serrer sur sa poitrine. Elle s’élevait et se rabaissait avec force sur le membre dont Harry dut convenir qu’il était changé en pierre pour ne pas exploser aussitôt de bonheur. Sa bouche savourait sauvagement les jeunes fruits défendus frémissants de plaisir et ses mains parcouraient tout le corps, incarnation même du désir le plus pur, sans jamais pouvoir se fixer en un endroit en particulier. Il profitait pleinement des deux seules sensations dont il était encore maître. Leur étreinte s’emplissait d’une jouissance bestiale à un rythme des plus démesurés. Pourtant Harry la trouvait si légère, si fragile entre ses bras que le peut d’esprit lucide qui lui restait craignait de la voir se briser à chaque secousse de leurs deux corps dépossédés.

Mais Hermione s’arrêta bientôt. Tous deux se sentaient arriver au bout de leur plaisir et elle s’abattit une dernière fois sur la virilité, criant au-delà de toute mesure, tandis que sa jouissance et celle de Harry se joignaient dans son ventre. Il l’enveloppa de ses bras et la tint ainsi tout contre lui, immobile, tandis que leurs nectars intimes n’en finissaient plus de s’écouler. Il fut alors surpris de voir à quel point la pièce était sombre. Berçait qu’il était par la douceur d’Hermione, il en avait totalement perdu le sens de ce qui se trouvait plus loin que les bords de la table. Un rayon de lune les éclairait encore. Il se posait sur le visage délicat d’Hermione qui reposait sur l’épaule de Harry, souriante, les yeux fermés, reprenant peu à peu son souffle. Harry s’allongea sur la table, emportant précautionneusement Hermione dans ses bras. Le courant d’air frais les frappa alors de plein fouet et il attrapa vivement sa cape qu’il jeta sur eux. L’un contre l’autre, tendrement enlacés, ils ne dirent pas un mot pendant de longues minutes.

En silence, Hermione se lova sur le corps de Harry en laissant ses mains glisser lentement sur son torse. Il la sentait encore pleine de désir et, bien que l’envie de partager un autre moment intime était loin de lui déplaire, il s’en étonna. Il craignit tout à coup que leurs relations s’aventurent un peu trop loin et il s’en voulut de s’être laissé aller à un moment de faiblesse qui avait apparemment une toute autre importance pour Hermione. Elle se fit un peu plus pressante et Harry essaya de parler d’une voix inquiète.


« Euh… Hermione… attends…
_ Ne t’inquiète pas Harry, fit-elle d’une voix résolue, tout va bien. »

Elle leva la tête vers lui et ses yeux sombres le capturèrent à nouveau.

« Je suis libre de choisir, Harry. Qui je veux ! Mais cette nuit, juste cette nuit, je veux renoncer à cette liberté. Je veux être à toi, t’appartenir. Au matin je la reprendrai. Mon corps s’abandonnera cette nuit, mais mon cœur gardera toujours la tendresse et le plaisir que tu m’as donné. »

Harry la serra doucement et l’embrassa.

« Merci Hermione, mais je ne veux pas que tu sois quelqu’un d’autre que toi. C’est un moment à partager, pas à donner. Ce que je veux c’est que tu le désire. »

Elle lui sourit alors tendrement et l’embrassa avec passion, prête à lui montrer ce qu’elle désirait vraiment.


14/12/2007
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