XLOVE59-BOY

mon chére enemis

Mon cher ennemi

Une aventure sexuelle de Harry Potter en quatrième année.

Avec : Harry Potter et Drago Malefoy






    Jamais les couloirs du château ne lui avait parus si angoissants. Pourtant sa récente victoire contre un dragon aurait suffit à tout autre garçon de se sentir beaucoup plus en confiance. Mais Harry devait déjà affronter une nouvelle épreuve : Trouver une cavalière pour le bal. Et ce n’était pas une mince affaire. L’approche du bal et son regain de popularité à travers l’école l’amenait à être souvent assaillit par une horde de filles. Mais s’il en trouvait parmi elles qui aient pu l’accompagner, il ne pouvait jamais leur en parler seul à seul. Et même lors, il lui restait un tout autre problème à résoudre. Cho Chang était-elle encore libre ? Accepterait-elle de venir avec lui ?

    Harry arpentait les couloirs du château en ayant le faible espoir de pouvoir enfin rencontrer Cho toute seule. Mais pour éviter de nombreuses autres rencontres indésirables, il était forcé d’emprunter les passages les moins fréquentés, voir secrets, ce qui, il le savait bien, réduisait considérablement ses chances de tomber sur Cho. C’est dans l’un des couloirs secondaires qu’il faillit tomber nez à nez avec Crabbe et Goyle. Les apercevants à la dernière minute, Harry fit un pas en arrière pour se cacher derrière l’angle du mur. Il trouvait leur comportement curieux. Drago n’était pas avec eux et ils semblaient attendre bêtement devant une porte. Harry se doutait bien que Malefoy devait être à l’intérieur et il se demandait ce qu’il pouvait bien mijoter.

    Pris par la curiosité, Harry se mit à réfléchir au moyen de chasser Crabbe et Goyle. Il aperçut un grand vase ancien sur un piédestal à l’autre bout du couloir. Il sortit sa baguette et lança à voix basse :

« Accio vase ! »

L’ornement pris aussitôt son envol et se dirigea vers Harry en traversant le couloir. Crabbe et Goyle l’aperçurent et le regardèrent avec un hébétement qu’une statue même n’aurait pu reproduire. Arrivé à mi-chemin, juste devant les deux serpentards, Harry relâcha le sortilège et le vase s’écrasa sur le sol avec grands fracas.

    Harry alla vivement se cacher derrière une statue d’où il pourrait voir toute la scène. D’après les visages des deux acolytes, même eux savaient ce qui allait arriver. Et Harry ne comprit pas pourquoi ils ne prenaient pas leurs jambes à leurs cous. De toute évidence, Crabbe et Goyle était devant un grand dilemme et ils ne parvenaient pas à se décider. Harry entendit la cavalcade habituelle qui accompagnait l’arrivée de Rusard. Précédé par Miss Teigne, le concierge arriva essoufflé devant les deux serpentards terrifiés.

« Alors comme ça on s’amuse à détruire la décoration du château. Avez-vous idée du temps qu’il me faudra pour recoller correctement tout ça ? D’ailleurs je ne vois pas pourquoi ce serait à moi de le faire. Ramassez ça et suivez-moi. Vous allez voir !
_ Mais ce n’est pas nous, fit Crabbe avec sur le visage une expression de réflexion intense et paniquée. Le vase flottait tout seul. C’est… c’est sûrement Peeves qui la cassé.
_ Menteurs en plus. Je pourchassais Peeves vers l’étage inférieur quand je vous ait entendu. Maintenant faîtes ce que je vous dis. »

Les deux serpentards ne discutèrent plus et ramassèrent les morceaux du vase avant d’emboîter le pas au concierge. Harry attendit qu’ils aient disparu pour sortir de sa cachette et se diriger vers la porte. Son plan avait faillit échouer. Il n’avait pas attendu une pareille présence d’esprit de la part de Crabbe et Goyle.

    Soulagé de leur départ, Harry regarda par le trou de la serrure. Il voyait bien des ombres bouger mais cela ne lui révélait rien. Avec précaution, il poussa légèrement la porte et jeta un œil par l’entrebâillement. Malefoy se tenait debout devant Pansy Parkinson complètement nue et à genoux. Mais ce qui attira le plus l’attention d’Harry était la multitude d’ustensiles sur le sol qui, entre les fouets et les godes, ne laissaient pas vraiment de doutes sur les relations des deux jeunes serpentards. Malefoy ricanait.

« Tu t’es vraiment bien débrouillée Pansy ! Je pense que tu seras parmi mes favorites lorsque je ferai le choix de ma cavalière pour le bal. Je verrai bien si les prochaines sont aussi douées. »

La jeune fille eut un regard boudeur indiquant clairement qu’elle n’appréciait pas d’avoir encore de la concurrence. Elle s’approcha à quatre pattes de Malefoy et se mit à lécher doucement la verge vaincue qui dépassait du pantalon. Toutefois elle eut beau se démener, Harry voyait bien que le membre ne durcissait pas. Il savait que Drago n’était jamais excité à moins qu’il n’use de violence sur ses partenaires. Et bien qu’elle en eut déjà fait les frais, Pansy s’y prenait très mal. Elle s’activait de plus en plus vigoureusement sur le sexe qui ne grandissait pas tandis que Malefoy la regardait d’un air condescendant.

« Tu es vraiment une salope, lâcha-t-il. Tu es prête à tout pour que je t’emmène à ce bal. Pour que tu t’affiches à côté de moi, à côté d’un membre d’une famille aussi prestigieuse. Mais tu te crois digne de moi ? »

    Malefoy gifla la jeune fille qui tomba à la renverse et se cogna durement le dos contre le sol. Harry s’aperçut que le visage de Pansy s’était involontairement tourné vers la porte et il recula vivement, espérant qu’elle ne l’avait pas vu. Il tendit l’oreille mais la jeune fille ne dit pas un mot tandis que Drago lui ordonnait sèchement de se rhabiller. Il se risqua de nouveau à regarder et vit qu’elle obéissait, tête baissée. Harry fut soulagé mais il était à peine rassuré que, soudain, Pansy fit un grand pas de côté et brandit une baguette magique.

« Petrificus totalus »

Le sort passa par l’entrebâillement de la porte et frappa Harry de plein fouet. Surpris par la réaction soudaine de la jeune serpentard, il n’avait pas pu faire le moindre mouvement pour esquiver l’attaque et se retrouva raide sur le sol. La porte s’ouvrit complètement et Pansy, encore en sous vêtements, apparue suivit de Drago l’air étonné. Mais il reprit très vite contenance et sourit d’un air mauvais.
« Tiens tiens, Potter. Tu te rinçais l’œil ? Je ne sais pas comment tu t’es débarrassé de Crabbe et Goyle, même si j’admet que ça ne doit pas être bien difficile. Mais je crois que certains de mes outils t’intéresseront de plus près. Bravo Pansy ! Tu viens tout juste de passer en tête de liste. »

La jeune serpentard parut aux anges tandis que Malefoy regardait à nouveau Harry.

« Ce ne sera pas très pratique de t’avoir comme ça. Tu devrais faire un gros dodo pour e laisser le temps de tout préparer. »

Drago brandit sa baguette et lança un sort de stupéfaction sur le jeune gryffondor impuissant.

    Lorsqu’il s’éveilla, Harry constata qu’il pouvait de nouveau bouger, à ceci près que ses poignées et ses chevilles étaient solidement attachés aux pieds d’une table sur laquelle son torse reposait. Ses pieds étaient à terre, lui donnant une posture des plus suggestives. Et un courant d’air froid parcourant son dos lui indiqua qu’il était entièrement nu. Il ressentit soudain une brûlure entre ses omoplates et se retint difficilement de crier.

« Alors Potter, tu aimes ? Enfin ce n’est qu’un début. »

Malefoy tenait une grosse bougie allumée et faisait couler la cire chaude sur le dos de Harry.

« Je t’ai réservé pleins de surprises, fit Drago en versant une nouvelle fois de la cire. D’ailleurs je suis sûr qu’à gryffondor tous les mecs connaissent la prochaine. »



    Tout en continuant à s’amuser avec la bougie, Drago fit voler un énorme gode jusqu’à lui. Puis il posa la bougie et se plaça derrière son prisonnier. Harry savait ce qui l’attendait mais il eut grande peine à retenir un hurlement de douleur lorsque le membre factice entra en lui sans aucune douceur. Tant qu’il ne montrait pas qu’il avait mal, il avait le dessus sur Malefoy. Mais il craignait ce que le serpentard pouvait inventer pour lui arracher un cri de douleur. Drago revint devant lui en remuant sa baguette pour faire bouger le gode.

« Alors Potter ? Je suis sûr que ça te plaît, non ? Un traître à son sang comme toi doit aimer les actes contre nature. »

Harry ne bougeait pas. Il ne lui aurait pas fait ce plaisir. En fait, passer la surprise de la pénétration, il n’avait plus vraiment mal et commençait à apprécier les mouvements du gode dans son dos. Il n’en laissait rien paraître, persuadé que Malefoy ne pouvait comprendre que l’on prenne du plaisir ainsi. Il se concentrait pour garder son visage impassible lorsqu’il posa les yeux sur Drago. Bien que sa victime n’ait pas pousser le moindre gémissement, le jeune serpentard grandissait à vue d’œil tout en continuant à manipuler le gode grâce à sa baguette.

    Harry en fut surpris mais il comprit finalement qu’il n’était pas le seul à prendre du plaisir à cet instant. Il se décida à remuer légèrement et à crisper un peu son visage, faisant semblant d’avoir mal mais aussi de résister courageusement, et guettait la réaction de Malefoy. Celui-ci semblait ne plus pouvoir tenir. La bosse sous son pantalon grossissait encore et il ne pouvait plus détacher ses yeux du membre factice qui ne cessait d’aller et venir à grands coups dans l’anus de Harry. Le jeune gryffondor se laissa enfin aller à un gémissement.

« Je… je crois que ça te suffit, fit Malefoy en essayant de retrouver une contenance, du moins pour l’instant. Passons à autre chose. »

Harry se doutait bien qu’il aurait droit à un traitement plus dur mais il espérait également pouvoir ainsi excité Drago au plus haut point. Il était curieux de voir jusqu’où le jeune serpentard irait.

    Malefoy retira le gode et Harry ne l’entendit plus bouger comme s’il était hypnotisé par quelque chose. Puis Drago reposa le gode et s’empara d’un autre ustensile qu’il fit claquer. Un fouet. Harry serra les dents en s’apprêtant à tout moment à la morsure du cuir. Mais c’était sans compter sur l’incroyable suffisance du serpentard.

« Je n’ai pas l’impression que tu aies bien réagis à notre première expérience, dit-il d’une voix encore troublée, aussi je crois qu’il faut en arriver à l’étape supérieure. »

Soudainement, Harry sentit une brûlure dans tout le dos. Il n’avait même pas entendu le coup venir, ce qui en disait long sur la capacité de Malefoy à manipuler le fouet. Très vite, deux autres coups cinglèrent sa peau et il ne put s’empêcher de lâcher un cri. Il entendit également Drago glousser de contentement. Reprenant ses esprits alors que la lanière de cuir le frappait à nouveau, il cambra le reins au mieux pour donner une meilleure visibilité à son bourreau. Il sentit une hésitation de la part de Malefoy puis le fouet claqua encore dans son dos. Harry se concentra pour bien faire frémir son arrière train et le coup suivant fut nettement moins puissant.

    Le fouet avait cessé de claquer. Harry ne savait à quoi s’attendre. Il ne voyait plus Drago dans son dos et ignorait tout de son excitation. Deux mains fébriles se posèrent sur ses hanches tandis qu’un membre, cette fois bel et bien de chair, s’engouffrait entre ses fesses. Sans dire un mot, il le laissa entrer en lui. Malefoy poussait des grognements à chaque va et viens. Ses mains se glissèrent sur les côtés de sa victime et s’empara de son sexe bien tendu. Il le caressa avec autant de vigueur que ses coups de reins. Harry commençait à prendre du plaisir lorsqu’il sentit un liquide chaud se répandre dans son dos. Malefoy avait apparemment beaucoup apprécié et avait déjà jouit. Sans dire un mot, le jeune serpentard relâcha le pieu de chair et se retira. Il contourna la table et se présenta devant Harry qui n’eut aucun mal à deviner la suite du programme.

    Malefoy lui tira les cheveux en arrière pour relever sa tête et pressa son gland encore visqueux sur les lèvres. Harry ne se fit pas prier et le prit en bouche. Il était décidé à faire bénéficier Drago de tout son savoir faire dans cet art. Mais le serpentard n’avait pas lâché ses cheveux et s’ingéniait à diriger maladroitement sa victime qui se serait bien mieux débrouillé sans cela. Harry supposait que Malefoy était persuadé de diriger encore les événements, mais il sentait bien qu’il se laissait de plus en plus aller. Privé d’une certaine liberté de mouvement, Harry utilisa alors au mieux sa langue pour abattre les défenses du jeune serpentard. Comme lors de leur première étreinte, Malefoy ne fut pas long à crier son plaisir et à se répandre dans la gorge de Harry qui, docilement, avala tout.

    Toutefois ses deux jouissances successives ne semblait pas avoir calmé Drago. Tandis qu’il conservait son membre dans la bouche de Harry, il dénoua de sa baguette magique les liens qui retenaient celui-ci prisonnier. Le jeune gryffondor se retourna sur le dos comme les mains de Malefoy l’en pressait. Drago grimpa sur la table pour s’allonger sur lui et prit le pieu de chair entre ses lèvres. Harry renchérit en laissant un doigt s’aventurer dans le puit secret de Malefoy qui, à sa grande surprise personnelle, se laissa totalement faire. Drago laissa à nouveau éclater son plaisir très vite mais il fut suivi de près par Harry qui se répandit dans sa bouche. Malefoy se releva alors, semblant sortir d’un rêve. D’un coup de pied, il fit rouler Harry sur le sol avant de sauter de la table. Le gryffondor, un peu étourdi, le vit prendre ses vêtements. Lorsqu’il se releva enfin sans avoir peur de retomber aussitôt, Malefoy était déjà habiller et ramassait rapidement les objets qui traînait.

    Harry se glissa silencieusement vers ses affaires et en sortit sa baguette magique. Drago ayant retrouvé tous ses esprits, c’était plus prudent. Celui-ci ayant enfermé toutes ses affaires dans un sac allait pour sortir lorsqu’il se retourna soudain.

« Tu n’as pas intérêt à parler de quoi que ce soit. Sinon…
_ Sinon quoi Malefoy ? L’interrompit Harry en montrant ostensiblement sa baguette. Tu vas encore me servir ton baratin sur les sangs purs qui considère les homosexuels comme des dégénérés ou des malades ? Pourtant on ne peut pas dire que tu t’es beaucoup défendu, n’est-ce pas ?
_ Je te préviens Potter… ferme-la…
_ Oh ne t’inquiète pas. En fin de compte je ne tiens pas tellement à ce que l’on sache que tu m’as attrapé si facilement. Mais est-ce que toi tu pourras retenir tes fanfaronnades habituelles ? »

Avec un regard de haine profonde, Malefoy se retourna à nouveau et sortit de la salle en claquant la porte. Harry commença à se rhabiller. Il était ravi d’avoir cloué le bec de Drago. Mais il était aussi un peu peiné. Il avait pensé que peut être Malefoy allait finalement changer sa façon de penser. Mais il est tellement plus facile de féliciter les gens de leurs réussites que de les convaincre de leurs torts.


14/12/2007
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