Les bermudes

Vers le sud-est des Etats-Unis, au large de
la côte atlantique, on aurait relevé des pourcentages étonnants de
disparitions inexpliquées de moyens de transports aériens et maritimes
de tout genre. Ainsi le Lieutenant Charles Taylor aurait communiqué
qu'il avait perdu sa trajectoire en zone inconnue à la tour de contrôle
de la station aéronavale de Fort Lauderdale et qu'il était incapable de
repérer l'ouest, que le vol était en territoire restreint et qu'une «
mer blanche » les envahissait. Ce ne fut pas le seul pilote compétent
et expérimenté à disparaître à cet endroit et pourtant, les commissions
d'enquêtes ont statués que ces disparitions n'étaient rien en
comparaison des pertes enregistrées n'importe où ailleurs. Sauf que si
elles sont peu nombreuses, elle restent sans explications : la plupart
du temps il ne s'agit en rien d'une panne car il y a 2 compas, un de
route l'autre de secours.
Autre phénomène étrange : les commissions d'enquête affirment qu'il n'y aurait pas « d'aberrations atmosphériques » dans la zone. Hors après recherches et analyses de certains plans de vol, on constate pour toutes qu'au bout de 7 à 8 secondes de vol dans la seconde, les avions piquent du nez sans raison apparente et sans laisser aux pilotes un temps de réaction possible ; de plus tour de contrôles et pilotes peuvent d'ordinaire corriger la trajectoire et redresser l'appareil hors là, la chute serait si rapide que les radars n'ont enregistré qu'un trait.
Enfin, les navires... une vingtaine de bâteaux et embarcations ont disparu sans lancer de signal de détresse, sans rien laisser derrière eux, et le dernier en date est le sous-marin atomique US Scorpion avec 100 personnes à son bord. Coïncidence ironique, depuis longtemps en arrière les eaux de cet endroit seraient vues comme malsaintes, Christophe Colomb lui-même, à bord du Santa Maria, le 11 octobre 1442 consigna des phénomènes inexpliqués à son propos.
Appelée mer des Sagasses, cet endroit aurait été localisé par des astronautes à cause de ses « trainées blanchâtres ». Cette mer a ses secrets en matière de faune marine ; la reproduction des anguilles ne passe que par elle, et certaines de ses algues sont uniques dans le monde.
Autre phénomène étrange : les commissions d'enquête affirment qu'il n'y aurait pas « d'aberrations atmosphériques » dans la zone. Hors après recherches et analyses de certains plans de vol, on constate pour toutes qu'au bout de 7 à 8 secondes de vol dans la seconde, les avions piquent du nez sans raison apparente et sans laisser aux pilotes un temps de réaction possible ; de plus tour de contrôles et pilotes peuvent d'ordinaire corriger la trajectoire et redresser l'appareil hors là, la chute serait si rapide que les radars n'ont enregistré qu'un trait.
Enfin, les navires... une vingtaine de bâteaux et embarcations ont disparu sans lancer de signal de détresse, sans rien laisser derrière eux, et le dernier en date est le sous-marin atomique US Scorpion avec 100 personnes à son bord. Coïncidence ironique, depuis longtemps en arrière les eaux de cet endroit seraient vues comme malsaintes, Christophe Colomb lui-même, à bord du Santa Maria, le 11 octobre 1442 consigna des phénomènes inexpliqués à son propos.
Appelée mer des Sagasses, cet endroit aurait été localisé par des astronautes à cause de ses « trainées blanchâtres ». Cette mer a ses secrets en matière de faune marine ; la reproduction des anguilles ne passe que par elle, et certaines de ses algues sont uniques dans le monde.