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samedi 9 fevrier 2008: star'ac final+cartoon's actu+ fiche desciptive de tf1

INFO NUMEROS 1

AUJOURD HUI SAMEDI 9 FEVRIER 2008 C EST LE PREMIER JOUR DES VACANCES CHEZ NOUS DANS L NORD ET MON BLOG A DEPASSER TOT CE MATIN LES 7000 VISITES !!!UN EXPLOIT!

VOIR LES INFOS SUR LA CHAINE DE TF1 PLUS BAS

 

 

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Mathieu ou Quentin : qui gagnera la Star Academy ?

Après quatre mois de compétition, les prénoms des finalistes de "Star Academy" saison 7 sont enfin connus. Qui selon vous de Quentin ou de Mathieu, doit faire suite à Jenifer, Nolwenn, Elodie, Grégory, Magalie, et Cyril ?

Quentin a 19 ans et habite à Hyères. Depuis le début de la saison 7 de "Star Academy", ce mélomane qui aime produire, composer, mixer  et jouer  ... est donné favori. Fan d'électro et de jazz , Quentin plaît énormément aux filles. Perfectionniste et passionné, il se surprend à être parfois jaloux et maladroit.

Mathieu a 20 ans et habite à Cergy-Pontoise. Mélomane éclectique, il se consacre entièrement à la musique. Auteur, compositeur et interprète, il joue de la batterie  et du piano. Mathieu se décrit comme un garçon attentionné, perfectionniste et bon vivant... mais têtu et jaloux. Il s'impose comme un modéle de gentillesse et de "peace attitude".

Le 15 février prochain, les deux candidats s'affronteront sur le dernier prime de la saison pour remporter le titre et publier un album chez Mercury/Universal, comme avant eux (avec plus ou moins de succès), Jenifer, Nolween Leroy, Elodie Frégé, Grégory Lemarchal, Magalie Vaé et Cyril Cinélu.

A votre avis, qui mérite de gagner et qui gagnera ?********************************************
resumer humour version cauet
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ACTU EN BREF PETIT RAPPEL!!!

 « Pirater, c’est mal ! »

Alors que la SPPF attaque trois logiciels de peer to peer, le gouvernement prépare un décret obligeant les FAI à prévenir les internautes des méfaits du piratage.

La loi DADVSI (relative au droit d’auteur et droits voisins dans la société de l’information), entrée en application en DEBUT D ANNEE, vient de générer un nouveau projet de décret. Elaboré par le nouveau ministère de la Culture et de la Communication, ce projet de décret d’application obligerait les Fournisseurs d’Accès à Internet (FAI) à envoyer périodiquement des emails à leurs abonnés, pour leur rappeler que le téléchargement illégal d’oeuvres protégées est répréhensible. En gros, qu’il est très mal de pirater. Tous les nouveaux abonnés à un FAI recevraient l’email dans les semaines suivant l’ouverture de leur connexion. Par la suite, les FAI seraient tenus de faire des rappels au minimum tous les huit mois. Le but semble avant tout être d’effrayer les téléchargeurs. Rien de bien méchant, puisque le décret ne va pour le moment pas plus loin.

Du côté des ayant droits, en revanche, ça s’agite. La SPPF (société civile des Producteurs de Phonogrammes en France, qui représente les maisons de disque) vient de porter plainte contre trois logiciels de téléchargement en peer to peer. Selon l’un des amendements de la loi DADVSI, les éditeurs de logiciels servant à la diffusion de contenus piratés peuvent être condamnés à trois ans de prison et 300 000 euros d’amende. Un dispositif qui n’avait pas encore été utilisé avant aujourd’hui. La SPPF, dans sa plainte, réclame « l’arrêt immmédiat de la distribution et du fonctionnement » de trois logiciels : Morpheus, Azureus et Shareaza. Elle réclame notamment 3,7 millions d’euros à l’éditeur de Morpheus, et 16,6 millions à Azureus, un projet américain initié par le Français Olivier Chalouhi. La SPPF ne se fait toutefois guère d’illusions : son président Jérôme Roger a déclaré à zdn avoir conscience que « ce n’est pas avec cette action que nous mettrons un terme au téléchargement illégal ». D’autant que la requête de la SPPF, soit l’arrêt de la diffusion des logiciels incriminés en France, semble particulièrement difficile à mettre en place

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Obama vs Clinton

Obama vs Clinton ...
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A L HEURE OU LE NOUVEAU PATRON DE TF1 A DESIDER DE FAIRE LE MENAGE(teleshopping...) REVENONS SUR L HISTOIRE DE LA CHAINE...

TF1 (acronyme de Télévision Française 1) est la première et la plus ancienne chaîne de télévision généraliste française privée.

TF1
Pays d'origine : France France
Langue : Français
Statut : Généraliste nationale privée
Création : 13 février 1935
Ancien nom Radio-PTT Vision (1935-1939)
Fernsehsender Paris (1943-1944)
Télévision Française (1944-1945)
RDF Télévision Française (1945-1949)
RTF Télévision (1949-1963)
La première chaîne de la RTF (1963-1964)
La première chaîne de l'ORTF (1964-1974)
Slogan : « Il n'y en a qu'une, c'est la Une ! » (1987)

« TF1 et mon cœur fait boom » (1990)

« TF1, c'est tout un programme » (1990)

« On a tous TF1 en commun » (2007)

Siège : Télévision Française 1 S.A.

1 quai du Point du jour
92100 Boulogne-Billancourt
Tél : (33) (0)1 41 41 12 34

Site Web : http://www.tf1.fr/
Diffusion
Analogique terrestre : UHF SECAM Chaîne n° 1
Numérique terrestre : TNT Chaîne n° 1
Bouquets satellite : Nouveau Canalsat : Chaîne n° 1
Atlantic Bird 3 TPS: Chaine n°1
Réseaux câblés : Noos : Chaîne n° 1
Numericable : Chaîne n° 1
MC Cable : Chaîne n° 3
Coditel : Chaîne n° 11 (Wallonie et Bruxelles), n° 41 (Flandre)
Cablecom : Chaîne n° 3

VOO sur le canal 206

ADSL : Freebox TV : Chaîne n° 1
Neuf TV : Chaîne n° 1
Orange TV : Chaîne n° 1
Alice TV : Chaîne n° 1
Club-Internet³ : Chaîne n° 1
BluewinTV,

Belgacom TV en Belgique

Histoire de la chaîne

Unique chaîne de télévision en France pendant 28 ans, la première chaîne a souvent changé de dénomination au cours de sa longue histoire : Radio-PTT Vision avant-guerre, Paris-Télévision pendant l'occupation allemande, Télévision Française dès 1944, RDF Télévision Française en 1945, RTF Télévision en 1949, première chaîne de la RTF (suite à la création de la deuxième chaîne en 1963), première chaîne de l'ORTF en 1964 et enfin TF1 à l'éclatement de l'Office en 1975, privatisée en 1987.

Radio-PTT Vision

La première chaîne de télévision française naît le 13 février 1935, date de l’inauguration officielle de la télévision en France qui émet en 60 lignes de 20h15 à 20h30 une conférence de la comédienne Béatrice Bretty depuis un studio de Radio-PTT Vision au 103 rue de Grenelle à Paris. L’émission peut être captée à 100 km autour de Paris. Le 10 novembre, Georges Mandel, ministre des PTT, inaugure la première émission en 180 lignes depuis l’émetteur de la tour Eiffel. Le 18, Susy Wincker, première speakerine depuis juin, effectue une démonstration pour la presse de 17h30 à 19h30.

Les émissions deviennent régulières à partir du 4 janvier 1937 de 11h à 11h30 et de 20h à 20h30 en semaine et de 17h30 à 19h30 le dimanche. En juillet 1938, un décret définit pour trois ans le standard en 455 lignes VHF (alors que trois standards sont utilisés pour les expérimentations : 441 lignes pour Gramont, 450 lignes pour la Compagnie des compteurs et 455 pour Thomson). En 1939, on ne compte que 200 à 300 récepteurs individuels de télévision, que l'on regarde aussi dans quelques rares lieux publics. Avec l'entrée en guerre de la France la même année, les émissions cessent et l'émetteur de la tour Eiffel est saboté.

Fernsehsender Paris (Paris-Télévision)

Suite à un accord signé en 1942 entre la Compagnie des compteurs et la firme allemande Telefunken, la station Fernsehsender Paris (Paris-Télévision) est créée le 7 mai 1943 diffusant en 441 lignes (standard allemand) depuis la tour Eiffel. Cette chaîne, inaugurée le 29 septembre 1943, est dirigée par l’Allemand Kurt Hinzmann et émet en allemand et en français quatre jours sur sept de 10h à midi, trois jours de 15h à 17h et tous les soirs de 20h30 à 22h, diffusant des variétés et du théâtre à destination des hôpitaux et résidents allemands à Paris (environ 1 000 récepteurs dont une centaine pour les téléspectateurs français). La chaîne s’installe au 13-15 rue Cognacq-Jay à Paris dans un ancien cabaret et une ancienne pension de famille achetés en 1942 par l’administration française. Le 16 août 1944, Fernsehsender Paris (Paris-Télévision) cesse d'émettre.

La Télévision Française de la RDF puis de la RTF

Les émissions en 441 lignes VHF reprennent depuis les studios télévisés de la rue Cognacq-Jay en octobre 1944. Le 17 décembre 1946, la télévision, maintenant au sein de la Radiodiffusion française (RDF), diffuse son premier bulletin de météorologie et reprend une programmation régulière (douze heures par semaine) en octobre 1947. Le premier évènement retransmis est l'arrivée du Tour de France le 25 juillet 1948, commenté en direct depuis le Parc des Princes par Jacques Sallebert. Le 20 novembre, le ministre de l'information, François Mitterrand, fixe par décret le standard du réseau français à 819 lignes VHF.

Le 4 février 1949, la Radiodiffusion française (RDF) devient la Radiodiffusion-télévision française (RTF) et la première speakerine, Jacqueline Joubert, recrutée par concours, apparaît sur les écrans. Le premier journal télévisé est diffusé le 29 juin sous la direction de Pierre Sabbagh qui est aussi son concepteur. La redevance sur les récepteurs de télévision est instaurée par la loi du 30 juillet.

À partir de la rentrée 1949, la télévision va s’offrir une série de grandes premières : le premier feuilleton destiné à un jeune public (les Découvertes de télévisius) en octobre, le journal télévisé quotidien le 2 octobre, puis biquotidien en novembre, les premières émissions religieuses du dimanche matin le 9 octobre, le 24 décembre, la messe de minuit retransmise en direct de Notre-Dame de Paris, la première émission enfantine avec le Club du jeudi le 26 janvier 1950, la première pièce de théâtre diffusée à la télévision en direct de la Comédie-Française le 24 février avec Le Jeu de l'amour et du hasard réalisé par Claude Barma, et enfin la première retransmission du défilé militaire du 14 juillet en direct des Champs-Elysées. Le 15 décembre 1949, Catherine Langeais devient la troisième speakerine de la télévision, recrutée pour présenter les nouvelles émissions en 819 lignes, tandis que celles en 441 lignes (prévues pour durer jusqu'en 1958) continuent d'être présentées par Jacqueline Joubert et Arlette Accart.

En juillet 1952, la première émission internationale de télévision est organisée par la RTF et la BBC, qui ont réussi à régler le problème de conversion des définitions (405 lignes en Grande-Bretagne, 441 et 819 lignes en France). Le 17 juillet 1952, alors que depuis 1949 l'émetteur 441 lignes se limitait à des films, des kinescopes (émissions filmées) et des directs de plateau, les mêmes programmes peuvent désormais être vus simultanément par tous les téléspectateurs français grâce au « convertisseur de standard » (une caméra 441 lignes reprenant l'image d'un moniteur 819 lignes à tube cathodique spécifique), en particulier les grands directs sportifs. Mais ceci va surtout permettre la retransmission en direct de l’Abbaye de Westminster du couronnement de la souveraine britannique Elisabeth II, véritable déclencheur de l’engouement des Français pour la télévision. Ce 2 juin 1953, tout Paris est devant les quelques écrans privés ou publics ou devant les vitrines des marchands de postes de télévision pour voir ici ce qui se passe au même moment à Londres. Le 31 décembre, l'Assemblée nationale vote un plan de développement de cinq ans pour la télévision. Alors que la France ne compte que 3 794 postes de télévision en 1950, 1 % des ménages français sont équipés en télévision en 1954.

Le journal télévisé est fixé à 20 heures le 1er janvier 1954 et le 13 juin, les 24 heures du Mans sont retransmises pour la première fois à la télévision. La première campagne télévisée pour les élections législatives se déroule du 20 au 30 décembre 1955. Le 3 janvier 1956 marque la fin prématurée de l'exploitation en 441 lignes : l'émetteur, d'une technologie ancienne, n'ayant pu supporter les longues soirées d'élection, est victime d'un incendie. Les 441 lignes devant s'arrêter initialement en 1958, sa coûteuse reconstruction est abandonnée au profit d'une indemnisation des téléspectateurs pour leur permettre l'achat d'un poste 819 lignes. En avril et mai 1956, le président du Conseil Guy Mollet reçoit les caméras de télévision pour la première fois à Matignon lors d’un entretien conduit par Pierre Sabbagh. Le 26 mars 1961, le carré blanc apparaît en bas de l'écran de télévision, signalant les programmes qui sont jugés inappropriés pour le jeune public.

La première chaîne

Suite à la création d'une deuxième chaîne de télévision par la RTF le 21 décembre 1963, l'ancienne chaîne unique devient simplement la première chaîne (tandis que la deuxième chaîne va chercher à séduire des téléspectateurs pour qu’ils s’équipent en récepteurs et antennes compatibles pour son nouveau réseau UHF, en diffusant sur un nouveau standard en couleur dès 1967).

En 1965, l'élection présidentielle fait l'objet d'une campagne télévisée pendant laquelle chaque candidat a droit à deux heures d'antenne, suivie le 5 décembre d’une nuit entière de directs et de commentaires sur les résultats du premier tour.

Le 1er octobre 1968, la première chaîne ouvre ses écrans à la publicité "de marque". Dans la nuit du 21 juillet 1969, des millions de téléspectateurs français assistent en direct aux premiers pas de Neil Armstrong sur la Lune, commentés par Jean-Pierre Chapel.

La télévision touche à présent un immense public : de 6,1 % des ménages équipés en poste de télévision en 1957, on est passé à 13,1 % en 1960, 51,7 % en 1966 après la création de la deuxième chaîne, pour atteindre 70,4 % en 1970. La loi du 3 juillet 1972, modifiant les statuts de l’ORTF crée deux chaînes de télévision distinctes et plafonne les ressources publicitaires à 25 %.

Création de TF1

La Société nationale de télévision Télévison Française 1, abrégée en TF1, naît le 8 juillet 1974, lorsque le Premier ministre Jacques Chirac présente le projet de loi de réforme de l'audiovisuel. Par la loi du 7 août 1974, l'Office de radiodiffusion télévision française (ORTF) est divisé en sept organismes autonomes dont trois sociétés nationales de programmes : Télévision Française 1 (TF1), Antenne 2 (A2), France Régions 3 (FR3), la Société française de production (SFP), Télédiffusion de France (TDF), Radio France, et l'Institut national de l'audiovisuel (INA). Le monopole d'État est maintenu. Chacune des sociétés est placée sous la tutelle du Premier ministre. La loi sera mise en application le 6 janvier 1975, lorsque la première chaîne change d'habillage et de nom pour devenir TF1.

TF1 doit son nom à l'UER. Lorsqu'il s'est agit de trouver un nom à l'ancienne première chaîne de l'ORTF, Jean-Louis Guillaud, son directeur général en 1975, s'est souvenu que l'UER nommait les trois chaînes publiques françaises : Télévision Française 1, Télévision Française 2 et Télévision Française 3. Il s'empressa de faire avaliser cette dénomination, forçant ses deux concurrentes à chercher d'autres dénominations. Ce nom avait l'avantage pour la chaîne de la faire passer pour LA Télévision Française.

Le 20 décembre 1975 en ouverture du journal, Jean-Claude Bourret annonce le passage de TF1 à la couleur qui prend effet le 1er janvier 1976 avec le passage sur le réseau UHF 625 lignes et la diffusion de ses premières émissions en couleur, soit douze ans après Antenne 2 (en 1967). Sa colorisation entamée le 6 janvier 1975 ne sera achevée tardivement qu'en 1983 avec l’arrêt des émissions en 819 lignes VHF noir et blanc. Durant cet intervalle, TF1 était également reprise en couleur par FR3 (déjà colorisée) depuis le 1er septembre 1975 à midi et l’après-midi jusqu’au démarrage de ses propres émissions à 18h.

Dès 1983, son audience la place derrière Antenne 2 tant pour les programmes de divertissement que pour l'information. Le 14 juillet 1983, Hervé Bourges est nommé président de TF1 par la Haute Autorité de la communication audiovisuelle (HACA) avec pour mission de redresser la situation de la chaîne. Il réussit en partie sa mission en mettant le duo Yves Mourousi - Marie-Laure Augry aux commandes du journal de 13 heures, Marie-France Cubadda ou Bruno Masure au 20 heures et en installant chaque vendredi une grande émission de divertissement populaire de Patrick Sabatier (Porte Bonheur, Le Jeu de la vérité), attirant également Patrick Sébastien ou Stéphane Collaro. Deux émissions emblématiques feront les meilleures audiences de la chaîne : Sept sur sept, le confessionnal politique dominical d'Anne Sinclair et Droit de réponse l'émission de débat polémique de Michel Polac.

La privatisation de TF1

En juin 1986, Jacques Chirac, à nouveau premier ministre dans le cadre de la première cohabitation, propose la privatisation d'une des trois chaînes publiques de télévision. Après avoir initialement porté son choix sur FR3, choix rendu impossible à cause de la structure régionale de la chaîne, puis sur Antenne 2 qui était, à l'époque, la première chaîne en terme d'audience et d'image, le gouvernement choisit finalement la première chaîne publique TF1, jugée "ringarde", mais en redressement depuis l'arrivée d'Hervé Bourges. La loi du 30 septembre 1986 autorise la cession par l'État de la chaîne publique en opérant une cession de 50 % de son capital à des acquéreurs choisis après une procédure d'appel aux candidatures, de 10 % aux salariés de la chaîne et des 40 % restants sous la forme d'un appel public à l'épargne.

La Commission nationale de la communication et des libertés (CNCL), qui a succédé à l'HACA, lance donc en septembre 1986 un appel à candidature pour la reprise de la première chaîne auquel répondent le groupe Fininvest de Silvio Berlusconi, le groupe de BTP Bouygues de Francis Bouygues, le groupe de presse Filipacchi, le magnat de la presse Robert Hersant, le groupe de presse Hachette, le magnat de la presse britannique Robert Maxwell, et l'homme d'affaire Bernard Tapie. Robert Hersant et Silvio Berlusconi s'étant alliés pour reprendre la Cinq, Filipacchi ayant abandonné, il ne reste plus en avril 1987 que deux candidats à la reprise : d'un côté le groupe Hachette mené par Jean-Luc Lagardère qui souhaite s'implanter dans la télévision, mais dont le partenaire, Havas, l'a quitté en février; de l'autre, un consortium mené par le groupe Bouygues associé à Pergamon Média Trust Pic, la GMF, la Fnac, les éditions mondiales, la Société générale, Maxwell Média, le groupe Bernard Tapie, Financière Faltas, Indosuez et le Crédit lyonnais. Les auditions des deux groupes repreneurs par la CNCL sont diffusées en direct sur TF1, et chacun d'eux expose aux membres de la commission le cahier des charges qu'ils comptent mettre en œuvre pour répondre au "mieux disant culturel" proné par le ministre de la communication, François Léotard au sujet de cette privatisation. Entraîné par le très médiatique Bernard Tapie et mieux entouré qu'Hachette, le consortium mené par Francis Bouygues séduit la CNCL qui autorise le 6 avril ce dernier à prendre une participation à hauteur de 50 % dans le capital de la chaîne contre un chèque de 3 milliards de francs remis le 16 avril, et lui attribue le 15 avril une concession d'une durée de dix ans sur le réseau national hertzien. Les 50 % restants du capital sont décomposés en 7 636 000 actions (soit 36,40 % du capital) cédées par offre publique de vente en Bourse en juillet 1987 à 165 francs l'action, et 2 040 000 sont offertes à la vente aux salariés et anciens salariés de la chaîne à 132 francs l'action.

Suite au rachat de la chaîne, Francis Bouygues en devient président et Patrick Le Lay vice-président, et les deux hommes s'engagent par écrit devant la CNCL à respecter la qualité des programmes, avec un cahier des charges ambitieux. Mais les salariés de la chaîne subissent ce changement de statut de leur employeur avec suspicion : nombre de journalistes usent de leur clause de conscience pour la quitter, et la plupart des animateurs-vedettes de TF1 (Patrick Sabatier, Patrick Sébastien, Stéphane Collaro, Marie-France Cubadda) partent sur la Cinq à la rentrée 1987. À commencer par Patrick Sabatier, ils reviennent tous quelques mois plus tard, confortant l'hégémonie de la chaîne. Le quotidien Le Parisien titre alors à sa Une avec une interview des dirigeants de la chaîne disant que « Si Patrick Sabatier frappe à la porte de TF1, je lui ouvrirai ». En 1988, Francis Bouygues confie la présidence à Patrick Le Lay. La chaîne change d'habillage en juillet 1989 et le changement s'est officiellement terminé le 6 janvier 1990 pour les 15 ans de la chaîne en adoptant un logo rectangulaire reprenant les trois couleurs nationales pour s'affirmer comme LA Télévision Française.

A partir de 1991, TF1 redevient la première chaîne en terme d'audience. Depuis elle règne en maître sur les audiences françaises, se tenant à l’affût des nouveautés lancées par sa principale concurrente, M6, pour la contrer sur son propre terrain.

La concession de diffusion de la société Télévision Française 1 SA sur le premier réseau national hertzien est renouvelée pour cinq nouvelles années sans appel d'offre par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) le 26 mars 1996, ce qui conduit l'association « Changez la Une » à déposer en vain un recours devant le Conseil d'État le 4 avril contre cette absence d'appel à candidatures face aux manquements de la chaîne à son cahier des charges depuis 1987. Cette autorisation a été à nouveau renouvelée pour cinq ans par le CSA le 20 novembre 2001 sur le réseau analogique hertzien et une nouvelle autorisation lui a été délivrée le 10 juin 2003 sur la télévision numérique terrestre française.

Fin 2005, TF1 offre aux internautes la possibilité de voir ou revoir certains de ses programmes via le service TF1Vision.

Dès le commencement de sa diffusion sur la TNT, TF1 diffuse certains de ses programmes au format 16/9, tels que de nombreuses séries ou films.

Le 22 mai 2007, TF1 diffuse pour la première fois un programme en VM (version Multilingue). Tout téléspectateur munit d'un décodeur TNT peux donc choisir de voir le programme en version française (VF) ou en version originale sous-titrée (VOST), ce qui représente une avancée majeure dans l'exploitation de ce mode de diffusion qu'est la TNT.

TF1 a prévu de retransmettre l'intégralité de ses programmes au format 16/9 dès 2008-2009, une décision prise suite à l'arrivée de la TVHD (Télévison à haute définition) en France en 2006. En attendant, les principales émissions de la chaîne (Star Academy, Attention à la marche, La roue de la fortune...) ont déjà adoptées ce format depuis l'été 2007 sur la TNT et les autres émissions devraient suivre dans les semaines à venir. Reste le très attendu JT de TF1 (d'après certaines sources en mars 2008). A noter que TF1 publicité a annoncé que dès janvier 2008 les publicités seront diffusées en 16/9 et donc l'habillage de la chaine devrait également subir cette transformation. Enfin les programmes au format 4/3 devraient être découpés lors de leur diffusion dans les années à venir, comme c'est déjà le cas sur la chaîne NRJ12.


ORTF 1ère chaîne générique
envoyé par michelius2 sur le site daylimotion


09/02/2008
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