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samedi 2 fevrier l'eleve taite son prof de connard ,le prof a bu un peu ,il gifle l eleve,il sera juger !

Le collège Gilles de Chin à Berlaimont, ...

Le collège Gilles de Chin à Berlaimont, le 31 janvier 2008.

Le professeur d'un élève giflé en classe sera jugé

- Le collège Gilles-de-Chin à Berlaimont, près de Maubeuge - France 3 - 

Un professeur qui a giflé en classe un élève de 6e l'ayant insulté sera jugé fin mars pour violence aggravée sur mineur

Lundi à Berlaimont, près de Maubeuge, le professeur de technologie au collège Gilles-de-Chin aurait poussé les affaires de l'élève de 11 ans (c'est vraix l'eleve etait tres jeune !)après lui avoir demandé de ranger sa table.

L'élève, qui lui aurait demandé une explication, aurait été poussé contre la porte. L'enfant aurait alors soufflé "connard" à l'adresse de l'enseignant qui l'a giflé(ca l apprendra j'espere pour lui que la giffle lui auras fait mal!).

Selon une source judiciaire mercredi, lundi, en fin de matinée, le père du mineur, lui-même gendarme(comme par hasard , ca c est vraiment bizard !), est arrivé en uniforme au collège pour demander des explications au professeur avant de déposer plainte. Plus tard, des policiers sont venus chercher l'enseignant chez lui et l'ont placé en garde à vue 24 heures.

"En 30 ans de carrière, on ne m'avait jamais parlé comme ça. Mon sang n'a fait qu'un tour, et je l'ai giflé"(evidement un prof , c est avant tout un etre humain qui fait son travail ca se respecte !), a expliqué le professeur qui reconnaît avoir un "tempérament autoritaire" et être "un peu maniaque". "On ne peut pas accepter qu'un professeur gifle un enfant quelles que soient  les circonstances", a commenté le rectorat. L'enseignant a été suspendu jusqu'à son jugement pour "violence aggravée" le 27 mars devant le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe(ben ca c est honteux pour la france , j'espere que l eleve , expulser 3 jours s en voudra a vie si le prof va en prison , !).

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BERLAIMONT (AFP) - Le professeur d'un collège du Nord qui va comparaître devant le justice fin mars pour avoir giflé un élève l'ayant insulté, a reconnu jeudi avoir été "impulsif" et a expliqué que le coup était "parti tout seul".

Comme plusieurs de ses collègues et de nombreux parents d'élèves du collège Gilles de Chin à Berlaimont, près de Maubeuge, le professeur, joint par téléphone par l'AFP, juge son geste "excessif". Mais il trouve "disproportionnées par rapport aux faits", sa garde à vue de 24 heures, qui a pris fin mardi après-midi, et sa comparution le 27 mars devant le tribunal d'Avesnes-sur-Helpe.

Le professeur de technologie, 49 ans, avait reconnu avoir giflé lundi matin un élève de 6ème après qu'il l'eut traité de "connard". A l'origine de l'échange, le professeur se serait agacé du désordre sur une table.

Son collègue Jacques Naert, qui faisait cours au même moment dans la salle à côté, a raconté jeudi à l'AFP avoir été appelé par le professeur juste après l'incident. "Il est venu me chercher, j'ai vu un élève qui pleurait sur le côté, et il m'a dit avoir donné une gifle. Il était bien marqué tout de même", a-t-il confié en parlant du professeur.

A la récréation de 10H00, deux élèves sont allés trouver l'infirmière qui a alerté la conseillère principale d'éducation. Le professeur n'avait rien signalé, selon le rectorat.

Le père du mineur, gendarme, est ensuite arrivé en uniforme au collège, sur convocation du principal. Il a demandé des explications au professeur - qui a reconnu s'être emporté - avant de déposer plainte.

L'enfant est retourné en cours l'après-midi même, a précisé le rectorat. Il doit cependant faire l'objet d'un suivi psychologique, "notamment en raison de la pression médiatique", a-t-on précisé de source judiciaire.

Interpellé chez lui lundi après-midi et placé en garde à vue, l'enseignant a subi un test d'alcoolémie qui a révélé "un taux de 0,30 gramme par litre de sang", selon le parquet d'Avesnes-sur-Helpe, en précisant qu'il n'était pas possible de savoir s'il avait déjà bu au moment de l'altercation.

L'homme affirme avoir bu "quelques verres" chez lui entre son départ du collège vers 11h40 et son interpellation. Mis en arrêt maladie jusqu'au 9 mars, il reconnaît un "très léger" problème d'alcool, mais jure n'avoir bu qu'un jus d'orange ce matin-là.

Le rectorat devra se prononcer sur une sanction éventuelle (suspension, blâme ou avertissement).

Jeudi, sur le parking du collège, un établissement moderne dans ce bourg de 3.000 habitants, parents, anciens élèves et collègues ont souligné le "sérieux" et la "conscience professionnelle" du professeur.

"Il y a des choses plus graves quand même!", relativise Thierry Dierickx, grand-père d'une élève, observant la foule de caméras depuis sa voiture. Une infirmière en blouse blanche trouve quand même le geste "inadmissible", affirmant que sa fille est "très choquée".

Mais beaucoup s'étonnent de la sévérité des autorités, plusieurs d'entre eux l'attribuant au fait que la victime est fils de gendarme. "Si ça avait été le fils d'un ouvrier, il n'y aurait pas eu tant de remous. Sûr et certain", avance Stéphanie Darcel, ouvrière de 32 ans et ancienne élève du professeur.

Les syndicats d'enseignants et les fédérations de parents d'élèves, sans défendre le geste, se sont étonnés de la judiciarisation de l'affaire qu'ils ont qualifié de "disproportionnée".

Le ministre de l'Education Xavier Darcos a "demandé au recteur" de Lille de veiller à ce que l'élève soit sanctionné également, a déclaré jeudi soir son entourage à l'AFP.

 L'élève qui avait été giflé lundi par un professeur du collège de Berlaimont, près de Maubeuge (Nord), a été exclu de l'établissement pour une durée de trois jours, a-t-on appris auprès du rectorat de Lille.

La direction du collège a pris cette mesure disciplinaire, assortie d'un retrait de dix points du carnet de conduite, parce que l'élève, âgé de 11 ans, avait insulté l'enseignant lors d'une altercation qui s'était produite lors d'un cours.

L'enfant aurait traité son professeur de "connard". Celui-ci, connu au collège pour être à cheval sur les règles de discipline et le respect, aurait alors mal réagi, selon les premières déclarations recueillis par les enquêteurs.

Placé en garde à vue après la plainte déposée par le père de l'élève, un gendarme, le professeur de technologie, âgé de 49 ans, doit comparaître le 27 mars devant le tribunal correctionnel d'Avesnes-sur-Helpe (Nord) pour "violence aggravée sur mineur".

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SUR YAHOO QUESTION REPONSE (dans nos articles du jour , j esaierais a l avenir de mettre quelques message des QRistes de yahoo !!!)

 

Avatar de Ambre Ambre

ANBRE A POSER LA QUESTION SUIVANTE :

Le professeur qui a giflé l'élève ........;?

Il venait de se faire traiter de conard....... Vous en pensez quoi vous ?????????????,

Alors moi, je pense que j'aurais emmené mon gamin a l'école voir le prof et les élèves présent lors de l'incident pour savoir ce qui se serait passé. Ensuite si c'était mon fils qui était en tors il se serait repris une tarte devant tout le monde ! ........ De toute facon peu importe qui à tors au final, l'enfant n'a pas a manquer de respect à l'adulte !!! Comme dit Cerise: Qu'est ce qu'il fera quand il sera adulte ??? Surment pas de la garde à vue ak un papa flic !!!
Regardez dans les cités "les enfants roi" c'est eux qui brulent vos voitures et insultent vos filles de **** !!!
Et puis là le prof en prend plein la gueule pour une gifle alors que si il s'était pris un coup de cutter on aurait rien dit au mome !!! Mais lui il serait peut etre mort !!! C'est honteux cette société !!! Il faut revenir aux méthodes d'avant !!! AVEC L'AIDE DES PARENTS !!!

SA REPONSE QU ELLE A CHOISIS MEILLEURS PARMIS LES 35 DONNEES PAR LES Q/RISTES EST LA SUIVANTE ;

Avatar de CERISE boit de l'eau  !!! CERISE boit de l'eau !!!

Moi je trouve que si les parents faisaient leur boulot, les profs n'auraient pas à le faire à leur place ! Ou est le respect ??? Moi si j'apprenais que mon fils c'était pris une baffe pour avoir insulté un prof, il s'en serait repris une autre en rentrant !!!!!!!!!!!!!!!

@rene B: Si on revenait au bonnes vieilles méthodes ca serait mieux pour tout le monde !!! Le jour ou ta bagnole cramera a cause d'un p'tit con tu te diras que si il s'était pris une bonne trampe de tps en tps ca lui aurait pas fait de mal !!! Et à ta voiture non plus !!!!!!!!!!!!!!!!!

 

IL Y A AUSSI DE NOMBREUSES AUTRES REACTIONS ...

"Moi je dis que le prof a eu raison. Quand j'étais encore au lycée , les élèves insultaient à volonté les professeurs, et eux qu'est ce qu'ils faisaient ?? ils ne pouvaient absolument rien faire , faire la morale a des petits cons et racaille d'élève ça servirais a quoi ??? a rien du tout." ; "il a bien fait car de nos jour il n'y a pus bcp de respect , meme les parents n'arrive pu a faire l'éducation de leur propre ''mome'' . maintenen il a tarter et tarter , si c'est un réflexe direct après l'insulte ca passe , je dirais c'est normal nous on nous insulte on répond par des insultes ou c'est une péche qui par, après si c'est cinq minute après je dirais qu'il n'aurais pas du le faire c'est un simple soulagement sous prétexte car en temps normal la clak n'ais pu tolérais" ; "désolée mais il a eu raison. je ne parle pas du geste mais de ne pas se laisser faire. c'est sur qu'il n'avait pas à le gifler mais il aurait du laisser le gamin l'insulter alors?
et les parents qui soutiennent le gosse moi ça me dépasse.
si un jour j'apprend que ma fille à traiter un de ses profs de connard, je t'explique pas la colère dans laquelle je rentrerai.
je n'accepterais pas non plus que le prof la gifle mais je n'accepterais pas qu'elle l'insulte.
bonjour l'éducation que les parents ont donné à ce gosse. je pense qu'ils ont une part de responsabilité";"Je pense qu`a un moment donne il faut arreter les considerations trop metaphysiques pour se concentrer sur des choses un peu plus terre a terre. Je pense que la gifle est justifiee et que l`eleve aurait du prendre 1 semaine de suspension. Je pense que lorsqu'on regarde la situation dans son ensemble, nous vivons maintenant dans une periode ou nous ne reagissons pratiquement plus lorsqu`un enseignant se fait insulter ou physiquement agresser, en revanche nous crions au scandale lorsqu`un eleve se fait gifler par l`enseignant qu`il vient d`insulter. La question est, si vous etes parent laisseriez vous votre enfant vous insulter de la sorte? Si non, comment reagiriez vous si il le faisait? Et dans ce cas, pourquoi tolereriez vous que votre enfant se comporte a l`egard d`un enseignant d`une maniere que vous ne tolereriez pas a votre encontre? Et rappelez vous, l`ecole est un lieu ou nous recevons une education et certain comportements devraient en etre exclus. Les eleves veulent etre respectes, qu`ils commencent par respecter les enseignants (ce qui ne veut pas forcement dire les aimer)."que si les parents éduquaient correctement leurs enfants, le prof n'aurait pas été insulté et l'élève ne se serait pas fait giflé ! et une bonne gifle (quand c'est bien mérité) n'a jamais tué personne !!! et après on s'étonne que certains jeunes ne trouvent pas de boulot ! mais ils ne supportent pas l'autorité et encore moins de recevoir des ordres ! ce n'est pas avec une éducation bidon qu'on aide des ados à ce construire un avenir solide." ; "Il a eu raison.
Depuis quand se permet on d'insulter un professeur ?
Si mon gamin venait à faire la même chose, je peux vous assurer qu'il s'en prend une deuxième. Bien entendu, j'attends de voir aussi dans quelle circonstance toute ça c'est passé.
Pour ce qui est énoncé, que reproche t'on au prof en fait ?" ;"Que le père aurait dû lui en remettre une deuxième quand il est rentré et que s'il avait fait son devoir de père avant, son fils n'aurait pas eu besoin de prendre une tarte de la part de son professeur. Et que c'est le gosse qui aurait dû être exclu du lycée pour avoir insulté un prof.
En abusant de son influence pour faire mettre le prof en garde à vue le père ne fait que dire à son fils qu'il a eu raison. Un jour c'est lui qui se fera traiter de connard et gifler par son fils, je ne le plaindrai pas." ; "l'élève méritait une punition mais le professeur a très mal réagi, les adultes se doivent de montrer l'exemple aux jeunes pour leur apprendre à se bien comporter. ce n'est pas en giflant les élèves qu'on leur apprendra qu'il ne faut pas être violent.
moi, je lui aurai fait écrire connard 50 fois avec la définition, qu'au moins il sache de quoi il parle. (eh oui, ça prend de "n")
en tant que parent, je l'aurai trainé par le colbac au collège, tous les jours jusqu'à ce que de lui-même il comprenne qu'il devait des excuses à son prof (trop la honte devant ses copains)!" ; "Bonjour,
Aucun geste de violence n'est justifiable de la part de n'importe qui... justifié ou pas... d'autant plus venant d'un adulte... un adulte qui frappe, c'est une adulte qui est totalement dépassé dans ses capacités d'éducateur... et notons que le professeur a, déjà, brutalisé l'enfant bien avant que le gamin dise le gros mot... il l'a poussé (de quelle façon ? violemment ou non ?) contre la porte du fond de la classe... simplement parce-que son bureau était en désordre !!
Ensuite, voyons le contexte... une classe moyenne contient presque une trentaire d'élèves... si cela peut-être difficile pour un professeur de faire son travail, vous imaginez d'un enfant qui est en pleine apprentissage de la vie ??
On impose des conditions de travail scolaire aux enfants qui, pour leur âge et leurs besoins psychologiques sont inadaptés... on met de plus en plus la pression sur les enfants pour s'adapter à des conditions de travail et d'existence scolaire qui sont de plus en plus importantes... sans parler de l'autorité parentale qui n'existe plus... pourquoi ? comment faire de l'autorité envers son enfant lorsqu'on ne le voit jamais ???
La moyenne des français ne voyent leurs enfants que 20 % de leurs jeunes vies... comment voulez-vous que ne leur donnant moins de temps d'apport affectif, ils puissent leur donner de l'autorité ???
L'autorité ne peut être efficace que si l'on passe le plus de temps possible avec son enfant... sinon, y en a pas...
Alors comment peut-on encore dire que si cela se passe mal au sein des structures scolaires cela puisse être dù à nos enfants ?
Ou plutôt à la responsabilités de structures d'adultes qui ne veulent pas assumer les conséquences de leurs choix ???
Voyons les choses plus sur le plan global... ce n'est pas un cas totalement isolé et ca le sera de moins en moins, bien malheureusement" ;"Je dis que la gamine n'avait pas à l'insulter, et que finalement, si c'était mon gamin, il aurait été puni comme il se doit à la maison, avec obligation de faire des excuses publiques au prof !!!
Après tout, le respect est dans les deux sens : de nos jours, en général, un élève veut du respect mais ne respecte pas les profs !!! Quant aux surveillantes, n'en parlons pas, pour certains élèvent, elles sont quantités négligeables !!!! Une honte !
Alors, avant de se plaindre de la baffe, moi, je me serais plutôt demandée comment mon enfant en était arrivé à traiter son prof de connard !
Donc : j'approuve !
Et tant pis pour ceux qui nous font la morale !!! Faut arrêter de trouver des excuses à tout va à ces "pauvres petits jeunes" et ensuite de se plaindre !
Y'a des jeunes respectueux, alors s'ils existent c'est bien que c'est possible, non ?" ET BEAUCOUP D AUTRE ... sur http://qc.answers.yahoo.com/answers2/frontend.php/question?qid=20080131035415AAUMDxv

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Trois jours d'exclusion : la sanction envers l'élève de 11 ans d'un collège du Nord ayant insulté un professeur a été annoncée vendredi par le rectorat. La décision a été prise par la direction du collège Gilles-de-Chin à Berlaimont, près de Maubeuge, après que le ministre de l'Education nationale eut demandé jeudi "au recteur de veiller à ce que l'élève auteur d'insultes reçoive une sanction appropriée".

Quant au professeur, qui avait giflé en retour l'élève récalcitrant, il a reconnu vendredi avoir été "impulsif" et a expliqué que le coup était "parti tout seul". Le professeur juge son geste "excessif", mais il trouve "disproportionnées par rapport aux faits", sa garde à vue de 24 heures et sa comparution fin mars devant le tribunal d'Avesnes-sur-Helpe pour "violences sur mineur". Un collègue, qui faisait cours dans la salle à  côté au moment des faits, a raconté avoir été appelé par le professeur juste après l'incident. "Il est venu me chercher, j'ai vu un élève qui pleurait sur le côté,  et il m'a dit avoir donné une gifle. Il était bien marqué tout de même", a-t-il confié en parlant du professeur. A la récréation de 10h, deux élèves sont allés trouver l'infirmière qui a  alerté la conseillère principale d'éducation. Le professeur n'avait rien signalé, selon le rectorat. Le père du mineur, gendarme, est ensuite arrivé en uniforme au collège, sur convocation du principal. Il a demandé des explications au professeur - qui a  reconnu s'être emporté - avant de déposer plainte.

Il reconnaît un "très léger" problème d'alcool
 
Interpellé chez lui lundi après-midi et placé en garde à vue, l'enseignant a  subi un test d'alcoolémie qui a révélé "un taux de 0,30 gramme par litre de  sang", selon le parquet, même s'il n'est pas possible de savoir s'il avait déjà bu au moment de l'altercation. L'homme affirme avoir bu "quelques verres" chez lui entre son départ du  collège vers 11h40 et son interpellation. Mis en arrêt maladie jusqu'au 9 mars,  il reconnaît un "très léger" problème d'alcool, mais jure n'avoir bu qu'un jus  d'orange ce matin-là. Le rectorat devra se prononcer sur une sanction éventuelle (suspension,  blâme ou avertissement).
 
Jeudi, sur le parking du collège, parents, anciens élèves et collègues ont souligné le "sérieux" et la "conscience professionnelle" du professeur. "Il y a des choses plus graves quand même!", relativise le grand-père d'une élève, observant la foule de caméras depuis sa voiture. Une  infirmière en blouse blanche trouve quand même le geste "inadmissible", affirmant que sa fille est "très choquée". Beaucoup s'étonnent cependant de la sévérité des autorités, plusieurs d'entre eux l'attribuant au fait que la victime est fils de gendarme.  "Si ça avait été le  fils d'un ouvrier, il n'y aurait pas eu tant de remous. Sûr et certain", avance une ouvrière, ancienne élève du professeur. Les syndicats d'enseignants et les fédérations de parents d'élèves, sans défendre le geste, se sont étonnés de la judiciarisation de l'affaire qu'ils ont, comme le professeur,  qualifiée de "disproportionnée".

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02/02/2008
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