XLOVE59-BOY

poudlard sex

Harry Potter et les Hosuces

Chapitre 1



Harry Potter se promenait sur Magnolia Crescent l’oreille aux aguets prêt à parer toute attaque mais le jeune Potter ne s’attendait sûrement pas à la « sorte d’attaque » qui allait se produire…
A 17 ans, Harry était de taille normale, musclé et un duvet de moustache apparaissant. Bref un physique que les jeunes filles (tout particulièrement Ginny Weasley, la jeune sœur de Ron) aimaient regarder et même plus pour certaines chanceuses. A la fin de sa 6e année, Harry avait rompu avec Ginny ce qui ne lui empêchait pas de penser souvent à elle. Il lui avait dit qu’il ne reviendrait pas à Poudlard mais il était revenu sur sa décision en pensant au beau corps nue de la jeune Weasley (qu’il voyait souvent dans des rêves qui avaient pour étrange effet de se réveiller avec une substance visqueuse dans le caleçon…
Mais pour l’instant Harry n’était pas en train de rêver de sa dulcinée et encore moins près d’elle, il était juste dans une petite avenue crasseuse de la banlieue de Londres prêt à se faire attaquer par un Mangemort à tout moment. Hélas le destin avait décidé pire pour lui. En effet alors qu’il tournait à l’angle de l’avenue il tomba nez à nez avec…la jeune sœur de Fleur Delacour, Gabrielle, entourée d’un groupe de Vélanes plus belles les unes que les autres, qui se déshabillaient, dans un ensemble parfait tandis que Gabrielle s’occupait de déshabiller Harry. Ce dernier ne comprenait pas ce qui se passait, il était en plein été dans une rue ensoleillée et un groupe d’enchanteresses Vélanes étaient en train de faire un strip-tease (Harry ne pu s’empêcher d’admirer ce qu’il voyait malgré les circonstances) tandis qu’une jeune fille de 15 ans le déshabillait sensuellement (là encore il ne pu s’empêcher de ce rincer l’œil sur le décolleté de Gabrielle).
Gabrielle venait de finir de déboutonner la chemise du jeune homme et lui embrassait maintenant le torse. Elle avait l’air très forte dans ce domaine car de simples baisers sur le torse ne suffisait pas pour l’exciter en temps normaux mais avec cette ravissante demi-Vélane les choses avaient l’air différentes. Quand elle en eut fini avec son torse, Gabrielle commença a lui enlever son jean puis son caleçon si bien qu’il se retrouva bientôt entièrement nu devant la jeune fille, celle-ci pris délicatement son sexe entre ses doigts et commença à le masturber avec vigueur. Harry ne cherchait pas à ce retirer, au contraire il voulait voir jusqu’où elle allait continuer. Gabrielle finit par mettre le sexe de son partenaire dans sa bouche et commença à le sucer avec délectation en s’arrêtant de temps à autre sur le haut de son penis pour lui titiller le gland. Harry n’avait jamais éprouvé autant de bonheur, tant et si bien qu’il ne tarda pas à se déverser dans la bouche de Gabrielle. Cette dernière avala goulûment le sperme et se présenta à Harry allongée par terre, les jambes légèrement écartées lui offrant une vue plongeante sur son vagin rasé. Harry ne se fit pas prier, il plongea dans son intimité avec une telle force que la jeune fille poussa un cri rauque. Il commença à faire de lents va et viens pour faire languir sa partenaire et quand il vit qu’elle ne pourrait plus tenir très longtemps, il accéléra son mouvement. Il finit par cracher sa laitance dans son corps puis comme elle était apparue, Gabrielle se volatilisa dans les airs après s’être adressée à Harry :


- Je voulais que ce soit toi…

Durant les jours qui suivirent Harry ne pu s’empêcher de penser à la jeune Vélane et ne pu s’ôter de l’esprit qu’il allait la revoir (en même temps que Ginny ce qui avait pour effet d’accroître son inquiétude) à l’occasion du mariage de Fleur et de Bill Weasley. Le jour fatal arriva enfin ou les Weasley ou grand complet vinrent le chercher à sa maison du 4 Privet Drive dans laquelle il habitait avec ses oncle et tante, Mr et Mrs Dursley. Quand il vit Ginny apparaître entre les Gravats de cheminée (les Weasley avaient eu recours à la poudre de Cheminette et avaient encore dû faire sauter la cheminée pour ne pas se retrouver emprisonnés) il n’eut plus aucun doute sur celle qu’il aimait… Gabrielle n’avait été qu’une aventure particulièrement agréable mais il se rendait compte maintenant qu’il ressentait quelque chose de beaucoup plus fort que l’amour physique envers Ginny. Ainsi il ne pu donc pas s’empêcher de la prendre dans ses bras et de la couvrir de baisers (au grand étonnement de Mr et Mrs Weasley) .


- Oh Harry je m’en doutais bien, dit cette dernière d’un ton ému,c’est…c’est…puis elle fondit en larme.


Ginny avait l’air de ne pas en revenir, après la déclaration que Harry lui avait faite à la fin de l’année dernière c’était compréhensible…


- Bon… il faut qu’on y aille, dit Ron d’un ton qui se voulait être léger, ils vont finir par s’inquiéter…
- D’accord allons y, finit par dire Harry après un silence gênant.


Il s’avança dans la cheminée, pris la poudre que lui tendait Mrs Weasley, entra dans la cheminée, jeta la poudre dans le feu et cria bien haut :


- Le Terrier !


L’habituelle impression de mains lui giflant le visage revint et quelques secondes plus tard il se retrouvait au Terrier ou sa première vue fut celle de Gabrielle en train de prendre son petit déjeuner…Ses lèvres pulpeuses suçaient la confiture doucement et Harry ne pu s’empêcher de repenser à cette merveilleuse expérience qu’il avait eu l’avant-veille lors de sa rencontre intime avec la jeune fille, et ne pu empêcher une bosse de se former dans son pantalon. Harry s’empressa de cacher cette protubérance en faisant apparaître sur ses épaules une cape de voyage dans laquelle il s’enroula ; Gabrielle tourna la tête vers lui et, pendant un instant, eut un sourire coquin qui se transforma en un « bonjour » poli lorsqu’elle vit Mrs Weasley arriver dans la salle (par la cheminée évidemment).


- Bonjour Gabrielle, comment vas-tu ? demanda cette dernière.
- De mieux en mieux, répondit la jeune fille, j’ai toujours rêvé de rencontrer Arry Potter...
- Eh bien voila qui est fait, dit Ginny apparaissant à son tour entre les flammes vertes, et elle ne se gêna pas pour envoyer à Gabrielle un regard féroce qui devait sûrement vouloir dire « il est déjà pris et je ne te conseille pas d’y toucher ».


Quand toute la famille Weasley, Harry et les sœurs Delacour furent là, tous prirent un copieux déjeuner arrosé du fameux hydromel vieilli en fut de Mme Rosemerta et des plaisanteries de mauvais goût de Fred et George sur les retrouvailles récentes de Harry et de Ginny.
Après le repas la jeune rouquine amena Harry dans la chambre de Ron et lui dit :


- Harry, tu es sûr que c’est ce que tu veux ? Ne voudrais-tu pas plutôt être avec quelqu’un d’autre ? Elle rejeta ses cheveux en arrière dans une parfaite imitation de Gabrielle.
- Que… Comment le sais-tu, demanda Harry éberlué de ce qu’il venait de voir. Comment sais-tu pour Gabrielle et moi ?!
- Oh… Madame Gabrielle me l’as tout simplement avoué !
- Ecoute Ginny, j’y ai longtemps réfléchi et j’en suis venu à la conclusion que je t’aimais toi et pas tes seins ou une autre partie de ton corps, ce que je pense ressentir pour Gabrielle... ce que je pense ressentir pour Gabrielle, ce n’est que de l’amour physique.
- D’accord, dit Ginny, mais tu aimes quand même mon physique ? reprit-elle d’un air inquiet après une courte pose.
- Bien sûr chérie…
- Tu ne me repousseras pas quand je viendrais t’embrasser ou autre chose ?
- Mais pour qui tu me prends ! Bien sûr que je ne te repousserais pas ! Tu peux même essayer maintenant si tu y tiens… Mais Ginny n’eut pas le temps de vérifier si Harry disait la vérité car Ron entra dans la pièce à ce moment précis.
- Alors les tourtereaux, il faut que je vous surveille si je ne veux pas retrouver mon lit tout collant ce soir…
- Ah là là, dit Ginny d’un air excédé, tu ne vas pas recommencer à me dicter ce que je dois faire…
- Non non non, c’est juste que Maman se fasse des idées à mon sujet…
- Bon eh bien on va aller faire ça ailleur, dit Harry en attrapant Ginny par le bras, tu viens ?
- A plus tard Ron, dit Ginny à travers la porte ouverte, viens Harry on va aller dans la campagne, un peu plus loin, il y a un rocher plat avec de La mousse dessus…


Ginny ne s’était pas trompée, l’endroit était fort agréable pour les pratiques sexuelles. Harry s’allongea sur le rocher et Ginny se mit en devoir de le déshabiller. Une fois qu’il furent tous les deux nus, Ginny se mit au dessus de Harry et s’empala littéralement sur le sexe devenu dure de son partenaire. Harry ressentit immédiatement une sensation de plaisir extrême et ne tarda pas à vouloir essayer d’autres positions, ce qu’il fit comprendre à sa partenaire en se retirant quelques instants. Puis il lui fit signe de se mettre à quatre pattes sur le borde la table et la sodomisa avec force. Ginny, qui ne s’était jamais rien mis dans l’anus, eut d’abord très mal ; puis elle finit par s’y habituer et commença même à apprécier. Elle se mit à pousser de petits cris puis finit par crier réellement. Harry ne tarda pas à éjaculer en elle et ils rentrèrent tous deux heureux au Terrier.

L’après-midi passa agréablement pour tout le monde. Ginny n’était plus du tout jalouse de Gabrielle depuis que Harry lui avait offert la même chose qu’a la demi-Vélane. Harry ne voyait plus en cette dernière qu’une fille sans intérêt (même si elle était particulièrement jolie) et Ron avait l’air heureux que Hermione arrive le lendemain…


- Si si Harry, je t’assure qu’elle m’a demandé de sortir avec elle dans le Poudlard Express ! affirma-t-il fièrement lorsque Harry lui demanda pourquoi son arrivée le rendait si heureux.
- Comme ça tu pourras aussi être avec une fille et tu ne te sentiras pas esseulé, répondit Harry.
- C’est vrai que je t’envie un peu par moment… mais ce n’est pas pour ça que je l’aime, bougonna Ron.
- On mange ! Cria la voix de Mrs Weasley dans les escaliers.


Harry et Ron descendirent dans la salle à manger ou tout le monde était déjà installé autour d’une marmite dans laquelle frétillait de la Bouillabaisse.


- Fleur nous a gentiment fait un plat typiquement français, annonça Mrs Weasley, régalez vous !


Harry vit Ron faire une drôle de grimace. Il savait que Ron n’avait pas apprécié la Bouillabaisse lorsqu’il y en avait eu pour le festin d’arrivée de Durmstrang et de Beauxbâtons, en 4e année. Ils s’assirent et Ron essaya de manger tant bien que mal les poissons marinés. Ginny lui donna un coup de coude sous la table et lui souffla :"tu grimace Ron !". Il fit de son mieux pour avoir l’air naturel et continua malgré tout à manger.
Après le repas du soir, il régnait dans la salle à manger une ambiance chaleureuse. Errol se trempait les plumes dans un bol, Mrs Weasley tricotait un pull, Fred et George faisaient des combats aériens en faisant léviter leurs couteaux, tandis que Bill et Fleur s’embrassaient amoureusement. Ce fut à ce moment là qu’Hermione arriva, elle transplana dans le jardin et frappa à la porte. Ron sauta de sa chaise comme s’il avait peur qu’elle explose et couru ouvrir à sa dulcinée. Ils restèrent tous deux dehors pendant quelques instants, puis Ron entra en s’essuyant la bouche suivi d’Hermione qui faisait le même geste avec sa propre manche.


- Eh bien ! Nous voila tous réunis, dit Mr Weasley d’un ton joyeux, maintenant il est temps d’aller se coucher, demain nous devrons nous lever tôt pour le mariage !


Harry monta dans sa chambre, se mit en pyjama et attendit Ron. Au bout d’une demi-heure, il entendit des bruits de pas dans l’escalier. Il se leva pour aller ouvrir la porte mais s’arrêta à mis chemin en entendant Ron dire :


- Non, pas dans la chambre, Harry doit y être, on va aller au grenier, il y a un lit maintenant que la goule est partie…


Harry sentit une bosse se former dans son pantalon et décida de les suivre. Ils montèrent au grenier et commencèrent à se déshabiller. Hermione, ne pu s'empêcher de remarquer Harry, avait des seins magnifiques. Il déboutonna son pantalon et commença à se masturber avec vigueur. Ron et Hermione entamèrent une branlette espagnole. Les mouvements de Ron entre la poitrine d'Hermione se firent plus rapides et ce dernier ne tarda pas à lui éjaculer au visage. Hermione s'allongea sur le lit et fit signe à Ron de se mettre sur elle, le rouquin ne se le fit pas répéter et s'allongea sur elle, il commença alors des mouvements de vas et viens de plus en plus rapide. Les mouvements de la main de Harry sur son sexe accélérèrent en même temps. Il éjacula en même temps que Ron et courut dans la chambre, se mit dans son lit et s'endormi avec de beaux rêves en tête.
Le lendemain matin, Harry fut le premier. Il descendit dans la salle à manger et y trouva Gabrielle en train de pleurer.


- Que… Qu'y a t'il? demanda t'il gêné.
- Oh Arry!s'écria t'elle en se jetant dans ses bras.


« Aie, aie, aie, se dit Harry de plus en plus embêté, pourvu que Ginny ne… » Il entendit des bruits de pas dans l'escalier, ferma les yeux et pria pour que ce ne soit pas Ginny. Quand il rouvrit les yeux, il ne se trouvait plus au Terrier mais dans une chambre aux allures confortables et Gabrielle était encore devant lui, mais entièrement nue.

Harry se réveilla en sursaut. "Ouf, ce n'était qu'un rêve" se dit-il. Il descendit à la cuisine ou Gabrielle, Fleur, Fred et George étaient déjà installés.


- Bonjour tout le monde, dit Harry.
- Bonjour Arry, répondit Gabrielle avec un regard pervers à son pantalon.
- Salut, gros tas de Gallions, dirent Fred et George, hilares.
-Très drôle, marmonna Harry en allant s'asseoir a côté de Fred. Il s'empara d'un toast et commença a le tartiner généreusement de confiture de fraise.
- Le mariage est à quelle heure? demanda t'il a Fleur.
-Oh, on devrait partir d'ici une demi-heure, d'ailleurs, il faut que j'aille réveiller Bill…
- On va réveiller Charlie, dirent Fred et George en se levant.
- Euh...je vais réveiller Ron et Ginny, dit Harry qui n'avait aucune envie de se retrouver en tête à tête avec Gabrielle. Il monta jusqu'à la chambre de Ron, entra, sortit sa baguette et murmura:
- Aguamenti !
- aaAAAAAAargh!s'écria Ron, trempé de la tête aux pieds.
- Le mariage, répondit Harry, pince-sans-rire.


Puis il alla réveiller Ginny. Il entra dans sa chambre, s'assit près de sa tête et lui caressa doucement les cheveux en murmurant:


- Il faut se réveiller, nous n'allons pas tarder à partir pour le mariage de Bill et Fleur…
- Hmm...marmonna Ginny, il me faut le baiser du prince charmant…


Harry se pencha vers ses lèvres et y déposa un doux baiser, avant qu'il n'aie relevé la tête, Ginny l'avait pris par le cou et l'embrassait amoureusement.


- Madame est-elle réveillé ou lui faut-il plus qu'un baiser?
- Non,non; il me faut bien un baiser mais tu ne l'a pas fait au bon endroit…
- Oh… je comprends ce que tu veux dire, dit Harry avec un sourire.


Il passa sa tête sous le couette de Ginny et commença par lui baiser doucement le ventre. Peu à peu, il remonta jusqu'aux seins de sa compagne (qui étaient encore plus gros que ceux d'Hermione) et fit courir sa langue sur les tétons du sein gauche, tout en caressant de la main le droit. Il s'amusa avec les deux tétons jusqu'à ce qu'il les sente durcir sous ses doigts.


- Aaaah!susurra Ginny.
- On va passer aux choses sérieuses…dit Harry en descendant le long du ventre de la jeune fille.


Il arriva jusqu'au haut de sa culotte et se mit en devoir de lui enlever doucement. Quand il eut fini, il mit doucement sa langue à l'intérieur de son sexe. Il chercha pendant longtemps le clitoris en le faisant glisser sur le côté de sa langue puis il le mordit tendrement. Il releva la tête et vit que Ginny n'allait pas tarder à avoir un orgasme alors il baissa son pantalon et commença à la pénétrer profondément. Il fit de secs et rapides mouvements de hanche et sentit une bouffée de plaisir lui enserrer le bas-ventre et il ne tarda pas à éjaculer. Ginny se retira rapidement et se mit sous le sexe de Harry où elle reçut tout le sperme dans la bouche.


- Aaaaah! Cria Harry.


Puis il descendit et, pour ne pas faire de gâchis, il but toute la laitance que Ginny avait déversé. Ils restèrent un bon moment là, allongés l'un sur l'autre puis Harry se releva et alla se changer pour le mariage.
Quand tout le monde fut réveillé et eu pris un bon petit déjeuner, Mrs Weasley mit tout le monde en file indienne devant la cheminée et leur donna à chacun une poignée de poudre de Cheminette en leur disant de prononcer bien clairement "Manoir du Lac d'Argent". Harry fut le premier à renter dans les flammes.


- Manoir du lac d'Argent! S'écria t'il.


Il se sentit aussitôt accroché par un pique au niveau du nombril, il vit défiler devant lui plusieurs dizaines de cheminées avant de réatérir brutalement dans une somptueuse pièce aux larges fenêtres où une vieille dame aux allures de reine le reçu :


- Bonjour Arry, dit-elle impérieusement, je suis la grand-mère de fleur et de Gabrielle, mon nom est Charlotte Delacour
- Euh…bonjour madame, dit Harry, passablement gêné.
- Mrs Delacour senior je présume? dit Mr Weasley en apparaissant à son tour dans la cheminée.
- Elle-même, mais je vous en prie, appelez moi Charlotte…
- Très bien, comme vous voudrez, dit Mr Weasley dont les yeux venaient de devenir inexpressifs.


Puis, tout à coup, sans prévenir, il s'avança vers la vieille dame, l'enlaça et l'embrassa vigoureusement au moment même où Mrs Weasley franchissait la cheminée derrière Fleur. Cette dernière brandit sa baguette vers sa grand-mère et cria :


- Stupéfix!


Mr Weasley se retrouva avec un corps rigide entre les bras. Il paraissait très gêné.


- Je…je, puis il opta pour une autre technique, Enervatum, marmonna t'il en faisant un vague geste avec sa baguette vers Charlotte.
- Excusez là monsieur Weasley, dit Gabrielle, apparaissant à son tour, c'est une Vélane et elle ne se contrôle plus très bien…
- Dis moi que ce n'est pas toi Arthur, dit Mrs Weasley qui semblait prête à exploser.
- Maisnonmaismollymaisc'estunevélanevoyons!essaya sans succès d'articuler Mr Weasley.
- Votre mari à raison, dit Charlotte qui venait de reprendre conscience, c'est entièrement de ma faute.
- Eh bien dans ce cas là…Mrs Weasley ne trouva rien d'autre à répondre et fut soudainement captivée par les motifs ornant le tapis sous leurs pieds tapis.
- Je vais vous faire visiter, dit la Vélane d'une voix mal assurée, venez, nous allons commencer par la cuisine.


Après une longue visite du vaste manoir, Charlotte les emmena dans la salla à manger où la table était déjà dressée.


- Voici le repas, dit la vieille dame, servez vous des amuses gueules en attendant les invités.


Ron bondit sur des petits pains au foie gras et en engloutis une dizaine en quelques instants. Les plus vieux se rassemblèrent au tour de la table des whiskies Pur Feu et des autres boissons. Ron après avoir mangé la moitié des amuses gueules alla les rejoindre et but à longue gorgée du whisky. Après avoir vidé une bouteille, il se dirigea d'un pas chancelant vers la table des spécialités régionales et engouffra une dizaine de crêpes au sucre avant de s'attaquer à une grosse tranche de jambon. Harry pendant ce temps là, était allé se servir un verre de whisky et le sirotait tranquillement aux côtés de Ginny lorsque la porte s'ouvrit tout grand pour laisser enter une dame colossale, accompagnée de deux petits caniches plutôt affreux. Elle regarda autour d'elle et baissa les yeux sur l'attroupement de nez rouges autour de la table aux boissons. Mme Delacour s'adressa à elle:


- Olympe! Comment allez vous ma chère?
- Très bien très bien, mais dites moi, Agrid est il arrivé?
- Non pas encore mais il ne devrait pas tarder, répondit Mme Delacour.


En effet, quelques instants plus tard, Hagrid entra dans la pièce et amena très rapidement Mme Maxime à l'extérieur. Harry, se demandant ce qu'ils allaient faire, les suivit à pas de loup. Les deux amants s’enfoncèrent dans la forêt du manoir jusqu’a une charmante petite cour recouverte de mousse.


- Ici ce sera parfait Olympe, dit Hagrid.
- Oui je pense aussi, répondit Madame Maxime.


Elle enleva lentement son lourd manteau sous lequel elle n’avait que son soutien-gorge. Hagrid lui, descendit jusqu'à terre et passa sa tête hirsute sous la robe de sa compagne et la remonta pour que Olympe, qui avait fini d’enlever son soutien-gorge, puisse la tenir. Il lui enleva en suite son string et plongea sa langue dans son sexe humide.


-OOOOOOOOOOOOOoH ! Agrid, cria la géante.


Harry voyait la grosse langue de Hagrid faire des allés et venus entre les lèvres de sa compagne. Puis il baissa son propre pantalon, s’allongea sur le gazon et sa compagne s’empala littéralement sur son sexe qui devait faire dans les 40 cm. Après dix minutes de langoureux va et viens, Madame Maxime se retira et commença à sucer le sexe de son amant. Hagrid déchargea sa laitance à grandes saccades dans sa bouche puis ils se rhabillèrent et rentrèrent au château, devancés par Harry.



14/12/2007
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 58 autres membres