XLOVE59-BOY

la loie des sang purs !

La loi des sangs purs

Une aventure sexuelle de Harry Potter en Troisième année


Avec : Harry Potter, Drago Malefoy, Vincent Crabbe, Grégory Goyle et deux filles de serpentard de première année.





    L’hiver était rude. Il neigeait et ventait fortement et les élèves de Poudlard qui étaient à Pré-au-lard ce week-end marchaient à pas vifs, le col de leur robe relevé. Ils se réfugiaient avec bonheur dans la salle accueillante des trois balais. Et c’est justement parce que tout le monde s’y trouvaient que Harry ne pouvait y entrer. Caché sous sa cape d’invisibilité, il n’avait aucune chance de se déplacer à l’intérieur sans se cogner contre quelqu’un. Ron devait l’attendre quelque part au milieu de la foule mais il ne pouvait même pas aller le prévenir. Harry aurait bien aimé pouvoir se débarrasser de la cape et entrer dans le pub comme n’importe quel autre élève. Mais l’absence d’autorisation de son oncle, la menace de Black sur sa tête et la surveillance dont il faisait preuve depuis l’en empêchait, à son plus grand regret.

Le vent sembla se calmer un peu et Harry décida de se promener un peu en attendant que Ron comprenne qu’il ne viendrait pas. Comme ils n’avaient pas fixé d’heure de rendez-vous précise, cela pourrait durer longtemps. Harry longea la rue principale. Il regardait avec envie les boutiques, décorées à l’occasion de Noël, et affichant chacune un parchemin pour la capture de Sirius Black. Sans Ron pour payer à sa place, il ne lui servait à rien d’entrer où que ce soit. Afin de ne pas gâcher totalement sa sortie, Harry se dirigea vers la cabane hurlante. Il n’avait pas eu le temps de bien la voir la première fois qu’il y était allé.

    Il arpentait un chemin totalement désert qui coupait dans un bois. Personne d’autre que lui n’avait marché dans la neige et il apprécia le calme de l’endroit uniquement dérangé par ses pas crissants dans la neige. C’est alors qu’il entendit un cri aigu venant de sa droite. Harry s’arrêta et tendit l’oreille. D’autres bruits indéterminés lui parvenaient dans la même direction. Intrigué, Harry s’enfonça dans le bois. En s’approchant, il constata qu’il s’agissait de bruits de voix. Il avançait avec une grande prudence, faisant attention de ne pas marcher sur des branches mortes ou tout autre chose qui l’aurait fait repérer. Avec lenteur, il déboucha sur une petite clairière dans laquelle s’élevait la voix traînante de Drago Malefoy, ce qui agaça grandement les oreilles de Harry. Il était bien sûr accompagné de ses deux acolytes Crabbe et Goyle. Tous trois ricanaient devant deux fillettes portant des uniformes de serpentard. L’une avait de longs cheveux blonds et l’autre des cheveux bruns assez courts. Harry ne les avait encore jamais vues, du moins à sa connaissance et, d’après leur jeune âge, il en conclut qu’il s’agissait de premières années. Les fillettes tremblaient comme des feuilles bien qu’elles soient correctement emmitouflées dans leurs capes et que des grands châles vert et argent leur mangeaient le bas de la tête. Elles fixaient de grands yeux effrayés sur les trois garçons qui leur faisaient face.

« Alors, petites garces, fit Drago Malefoy, un sourire mauvais aux lèvres, vous pensiez que nous vous avions oubliées ? Nous avons déjà rencontré la plupart de vos amies de première année. Nous avons forcé l’une d’elle à nous révéler que vous alliez à la cabane hurlante alors que nous vous avions dit de vous rendre dans le cachot de rangement des chaudrons. Mais vous n’êtes pas venues. Or nous n’aimons pas vraiment attendre, surtout pour rien. Votre attitude n’est pas celle de bonnes sangs pures. Nous allons devoir vous punir. »

La jeune serpentard aux cheveux blonds se recroquevilla sur elle même. Des larmes se mirent à couler sur ses joues et tombèrent en creusant de petits trous dans la neige étincelante.

« Je ne veux pas ! »

Elle avait parlé d’une si petite voix que Harry crut un instant qu’il s’agissait du sifflement du vent. Crabbe s’avança vers elle sur un signe de Malefoy et la gifla violemment au visage. Harry avait crispé ses doigts sur sa baguette tandis que la gamine se retrouvait étalée de tout son long dans la neige et que sa compagne tenait toujours debout avec dignité bien qu’elle fut trahie par ses tremblements de plus en plus agités.

« Tu n’as pas le choix, reprit Malefoy d’une voix dure tandis que Goyle s’avançait vers la seconde gamine pour l’empêcher de s’échapper. Tous les sangs purs de serpentard à Poudlard respectent la tradition depuis des siècles. Nous ne te laisserons pas la briser. »

Il fit un nouveau signe à Crabbe et Goyle qui attrapèrent les fillettes et tirèrent sur leurs vêtements, retirant d’un coup les châles et les capes et s’empêtrant ensuite dans les plis des robes pendant qu’elles se débattaient vainement. Harry n’arrivait pas à croire ce qu’il voyait. Il en était comme paralysé, son cerveau fonctionnant au ralenti tandis qu’il cherchait à comprendre ce qui se tramait sous ses yeux.

« Tous les premières et deuxièmes années doivent se soumettre aux désirs des élèves en années supérieures, reprit Malefoy, et ce une fois que les troisièmes années se sont occupés de leurs dépucelages. Tous les garçons sont passés entre les mains des filles de troisième année, mais nous nous avons pris du retard par votre faute. Il faudra en payer le prix. »

La petite brune jetait un regard implorant à Malefoy tandis que son acolyte remontait la robe sur son cou, révélant ses petits seins en coupole. A ses côtés, Crabbe retirait la petite culotte de la blonde en reniflant bruyamment, révélant une très légère toison aux reflets dorés.

    Lorsqu’elles furent toutes les deux entièrement nues, tremblants de tous leurs membres de peur et désormais de froid, Crabbe et Goyle les jetèrent brutalement face contre terre et posèrent un pied sur leurs reins pour les maintenir contre le sol gelé. Les gamines criaient en essayant sans succès de se relever. Harry avait du mal à se retenir d’intervenir. Mais s’il se faisait repérer trop tôt, il savait qu’il ne ferait pas le poids face aux trois serpentards. Et s’il était neutralisé, il ne pourrait plus rien faire pour les filles. Malefoy leva sa baguette et, d’un mouvement, réduit en lambeaux les vêtements sur le sol. Ils ne restaient que les deux baguettes des filles qui roulèrent sur la neige et s’arrêtèrent à quelques mètres de Harry.

« Voilà qui vous forcera à faire le voyage de retour au château de manière plus intéressante. Mais d’ici là, nous avons des affaires à régler. »

Il fit un signe à Crabbe et Goyle qui retirèrent leurs pieds des dos des fillettes. Celles-ci se redressèrent immédiatement, tout le devant du corps rougit par la morsure du froid, et se serrèrent instinctivement l’une contre l’autre à la recherche de chaleur. Mais, sur un autre signe de Malefoy, Crabbe et Goyle les séparèrent. Le premier emmena la petite blonde vers un rocher bombé à la lisière de la clairière tandis que l’autre amena la brune à Drago avant de rejoindre son acolyte. Malefoy attrapa la gamine par le bras et la força à regarder ce qui arrivait à son amie.

Les deux grands serpentards plaquèrent sans ménagement la fillette face contre le rocher dont le contact devait être particulièrement douloureux. La petite blonde se raidit et grimaça mais se retint courageusement de crier. Crabbe se positionna devant la tête de la jeune serpentard tandis que Goyle se plaça derrière elle. Tous deux remontèrent leurs robes sur leur ventre et dégagèrent leurs sexes. La fillette semblait terrifiée, son visage totalement crispé et sa bouche grande ouverte comme si elle poussait un hurlement rendu silencieux par la peur. Crabbe en profita pour fourrer son membre entre les lèvres maigres que le froid avait teinté de bleu. Mais il ne parvenait pas à entrer entièrement. Il donna des coups de reins en appuyant avec force sur la chevelure blonde pour forcer la gorge trop étroite, ne prêtant aucune attention aux protestations étouffées de douleur et aux petits poings qui martelaient inutilement ses hanches. Pendant ce temps, Goyle massait les petites fesses rebondies de la gamine en écartant les cuisses maigrelettes. Il frotta sa queue contre la fente également bleutée par le froid mais remonta jusqu’au petit anneau qu’il pénétra avec lenteur. La petite blonde était si préoccupée par le sexe qui forçait sa bouche qu’elle ne sentit Goyle qu’une fois son gland fiché en elle. Il donna un violent coup de reins et fit pénétrer son dard jusqu’à la garde, arrachant un cri de douleur étouffé à la gamine.

Pendant ce temps, Harry s’était rapproché doucement des baguettes abandonnées sur le sol. Les serpentards avaient tellement tassé la neige au centre de la clairière qu’il parvenait à se déplacer sans trahir sa présence par des empreintes de pas. Il ramassa les baguettes qu’il mit dans sa poche à côté de la sienne, se forçant à ne pas se laisser distraire par les gémissements de la blonde rudoyée et par les pleurs de la petite brune qui, elle-même, essayait de ne pas faire attention à la main qui caressait avidement ses fesses en passant par moment un doigt sur son trésor intime. Harry sentit toutefois son membre se gonfler peu à peu, se demandant comment il pouvait être excité par une situation aussi odieuse. Après avoir contemplé quelques va et viens de ses amis dans le cul et la bouche de la petite blonde, Malefoy attrapa la gamine à ses côtés par ses cheveux courts et tira violemment dessus en l’obligeant à s’agenouiller devant lui dans la neige tandis qu’elle serrait les dents pour ne pas crier. Il releva sa robe et sortit son sexe. Harry constata que malgré le spectacle qu’offrait ses amis, Malefoy ne semblait pas excité. Il pointa sa baguette sur la petite brune qui n’eut pas d’autre choix que d’engloutir le sexe mou dans sa bouche. Ses larmes coulaient le long de ses joues et tombaient sur sa petite poitrine et son ventre plat. La main qui tiraillait ses cheveux l’obligeait à aller d’avant en arrière. Elle fit de son mieux pour suivre le mouvement et éviter la douleur. Mais Harry, qui ressentait encore plus de honte d’avoir une érection à ce moment-là, voyait bien que Malefoy, qui donnait à présent des coups de reins rageur, ne bandait toujours pas.

Enervé, il se retira de la petite bouche de la brune et la gifla violemment comme si elle était responsable de son manque d’excitation. Puis il la traîna vers le rocher, où ses acolytes s’activaient toujours avec vigueur, en la tirant par les cheveux ce qui obligeait la gamine à marcher courbée, glissant et trébuchant sur la neige. Harry se rapprocha également avec prudence. Malefoy laissa la petite brune en arrière, non sans l’avoir projetée sur la neige dure. Il s’approcha du trio sur le rocher au moment où Crabbe et Goyle se figeaient et se répandaient dans la gorge et le cul de la petite blonde. Crabbe obligea la fillette à tout avaler et même à lécher ce qui lui avait échappé et qui s’était étalé sur le rocher. Goyle, lui, attrapa la petite brune par les cheveux (« c’est une manie » pensa Harry) et fourra son sexe encore gonflé dans la petite bouche. La gamine qui n’avait eu qu’un sexe au repos, fut surprise par la taille du nouveau membre et manqua de s’étouffer. Goyle ne fut pas long à jouir une deuxième fois. Il abandonna la petite brune au visage souillé et se tourna vers le rocher où Malefoy écartait brutalement les fesses de la blonde, sa baguette magique à la main.

Drago prononça une formule et le bout de sa baguette se mit à luire d’une lumière rouge qui devint d’un blanc intense. Harry remarqua que la neige prêt de la baguette commençait à fondre. Crabbe tenait les deux petites fesses écartées tandis que Malefoy enfourna sa baguette brûlante dans le petit anus. La fillette hurlait de douleur tandis que le morceau de bois allait et venait dans son petit cul. Malefoy avait un sourire mauvais et augmentait la vitesse de sa baguette faisant crier la petite blonde encore plus fort tandis que Harry remarquait une bosse se former sous la robe du serpentard. Apparemment il n’était excité que par les cris de douleur. Le jeune gryffondor frissonna en pensant à toutes les autres premières années de serpentard.

Il se ressaisit très vite car le moment qu’il attendait tant était enfin venu. Les trois serpentards avaient tous les yeux braqués sur la petite blonde. La brune était en retrait, les bras serrés pour essayer de se réchauffer et pleurant en regardant son amie se faire torturer, songeant qu’elle aurait sûrement droit au même traitement juste après. Harry s’approcha d’elle dans son dos avec lenteur et sans faire de bruit. Alors qu’il était presque contre elle, il ouvrit rapidement sa cape d’invisibilité et enveloppa la fillette qui disparut aux yeux de toute autre personne. Le jeune gryffodor posa vivement une main sur la bouche de la petite serpentard et entoura son torse d’un bras pour la maintenir le plus immobile possible. Surprise, celle-ci se débattit en poussant un gémissement qui fut couvert par les cris de sa camarade. Harry approcha sa tête de celle de la gamine et lui dit doucement à l’oreille.

« Calme-toi ! Je ne te veux pas de mal. Crois-moi ! Je vais essayer de te sortir d’ici. »

La petite brune cessa de bouger et tourna la tête. Elle ouvrit des yeux étonnés et prononça des mots étouffés par la main de Harry. Il relâcha son étreinte et enleva sa main pour qu’elle puisse répéter.

« Tu… tu es Harry Potter ? Reprit-elle d’une voix basse mais tremblotante.
_ Oui ! Mais reste silencieuse. Il faut que nous récupérions ton amie.
_ Co… comment on… va faire ?
_ Je pense savoir. S’ils sont aussi bêtes que je le pense ça ne devrait pas être trop dur. Mais j’espère qu’ils vont faire vite. »

    Harry n’en pouvait plus d’entendre crier la petite blonde. Il se retenait à grande peine de saisir sa baguette et d’attaquer les serpentards. Mais il était si près de les sauver toutes les deux. Il ne pouvait pas risquer de se faire attraper maintenant. Il sentit le petit corps de la brune se coller contre lui. Même à travers sa robe de sorcier il sentait qu’elle était gelée. Son sexe se tendit encore un peu, à sa grande honte, mais il ne parvenait pas à se contrôler. Dans cette position, tout ce qu’il pu faire était de retirer son châle rouge et or pour le passer autour des épaules de la fillette avant de l’envelopper dans sa cape d’hiver. Puis il la serra contre lui en frottant son dos nu, ce qui n’arrangea pas son érection.

    Enfin, Goyle tourna la tête vers eux et se leva d’un bond.

« Drago ! L’autre n’est plus là ! »

Malefoy retira vivement sa baguette ce qui stoppa les hurlements de la petite blonde au grand soulagement de Harry et de la brune. C’était maintenant que tout allait se jouer. Parier sur la stupidité de Crabbe et Goyle c’était comme se demander si le jour succédait à la nuit. Ils s’éloignèrent du rocher en s’approchant de la lisière de la forêt en cherchant où leur victime avait pu se réfugier. La petite blonde était prostrée sur le rocher et semblait à bout de force. Seul Malefoy restait assis sur la pierre scrutant le décor devant lui sans voir Harry et la jeune serpentard juste devant lui. Ses deux acolytes s’étaient maintenant enfoncés dans le bois. L’occasion était trop belle. Harry pris sa baguette et la pointa sur Malefoy qui ne se doutait de rien.

« Pétrificus Totalus ! »

Malefoy devint raide comme une planche et s’écroula le nez le premier dans la neige. Rapidement, Harry s’approcha du rocher, attrapa la fillette et l’amena sous la cape. Il voulut poser la main sur sa bouche mais la petite brune le devança. Elle sourit à son amie lui assurant à voix basse que tout allait bien. Sans dire un mot, la petite blonde se serra contre Harry et son amie à la recherche de chaleur. Le jeune gryffondor sentit le ventre de la gamine se plaquer contre son sexe érigé. Il rougit violemment mais il n’avait pas le temps de se soucier de la bienséance pour l’instant. Il fallait partir avant le retour de Crabbe et Goyle.

    Harry entraîna les filles vers la forêt. Il était difficile de marcher sur le sol inégal avec les deux serpentards collées à lui de chaque côté. Mais elles étaient si glacées que Harry ne pouvait se résoudre à leur demander de s’écarter un peu. Il les avaient toutes les deux entourées de sa cape d’hiver et leur frottait le dos avec vigueur maintenant que le danger s’écartait de plus en plus. Mais cela les obligeait à marcher plus lentement encore pour ne pas perdre la cape d’invisibilité qui, elle, ne protégeait pas du froid. Harry sentit son membre lui faire mal dans son pantalon lorsqu’il se surprit à penser que bien qu’elles soient très froides, leurs peaux étaient également très douces. Ils traversèrent le village de Pré-au-Lard à pas feutrés. Harry aperçut Ron qui était sortit des Trois Balais et scrutait la rue espérant apercevoir son camarade malgré la cape d’invisibilité. Harry ne pouvait toujours pas le prévenir et il se dit qu’il s’excuserai ce soir tandis qu’il franchissait la porte de chez Honeydukes qu’un autre élève de Poudlard avait ouvert en grand pour entrer. Ils eurent du mal à passer car la boutique était pleine à craquer. Harry fut soulagé de se retrouver derrière le comptoir bien qu’il lui semblait avoir percuté légèrement une élève de cinquième année. Mais il y avait tellement de monde que cela fut sans conséquence.

Ils purent souffler une fois qu’ils se retrouvèrent sur les marches dans le souterrains. Mais ils devaient faire vite. Le passage secret était parcouru d’un courant d’air froid et malgré la chaleur du corps de Harry et les frictions qu’il prodiguait aux fillettes, celles-ci tremblaient toujours. Leurs dos redevenaient vite glacés s’il arrêtait de les frotter. Il ignorait combien de temps elles auraient pu tenir le coup si Malefoy avait continué de les traiter comme il l’avait fait. Heureusement ils purent marcher beaucoup plus vite maintenant qu’ils n’avaient plus à s’occuper de la cape d’invisibilité. Ils ne durent la remettre correctement qu’avant de sortir. Harry vérifia sur la carte du maraudeur que personne n’approchait de leur cachette et ils s’élancèrent dans le couloir. Le jeune gryffondor les amena aux douches de sa maison. Il n’avait pas accès à celle des filles et les emmena chez les garçons. A cette heure-ci, elles était encore désertes. Harry se débarrassa de la cape d’invisibilité avec rapidité et détacha sa cape d’hiver dont il enveloppa les deux gamines qui semblaient épuisées. Il ferma la porte des douches à clefs, entra dans la cabine la plus proche et fit couler de l’eau qu’il régla pour qu’elle soit bien chaude sans ébouillanter. Il alla chercher les jeunes serpentards. La brune se redressa avec difficultés mais la blonde ne pouvait plus bouger. Elle semblait avoir donné ses dernières forces pour arriver jusqu’au château. Harry la prit dans ses bras et la porta jusqu’à la cabine tandis que son amie s’était assise contre le mur en savourant l’eau qui coulait sur son corps. Il posa la petite blonde à côté de sa camarade qui la prit dans ses bras.



Harry sentit son pantalon devenir encore plus étroit alors qu’il contemplait les deux fillettes nues, tendrement enlacées. Il allait pour sortir, pensant qu’il pouvait aller se soulager dans une cabine à côté lorsqu’il fut rappelé par une petite voix.

« Harry ! »

Il revint en arrière. Les deux gamines le regardaient d’un air sérieux, la blonde avait posé sa tête sur l’épaule de son amie semblant incapable du moindre mouvement. La brune fit un léger sourire.

« Merci ! Fit-elle d’une voix feutrée.
_ Ce n’était rien. J’ai fait ce que j’avais à faire.
_ Harry ? Tu pourrais nous rendre encore un service ?
_ Bien sûr ! Quoi donc ?
_ Tu pourrais nous faire l’amour ? »

Harry qui s’était attendu à ce qu’elles lui demandent d’aller chercher des vêtements ou autre chose dans ce genre là fut frappé de stupeur. Il resta paralysé devant les deux gamines qui gardaient toujours un air sérieux.

« Tu comprends, reprit la brune devant son air hagard, Malefoy finira par nous mettre la main dessus. Il ne laissera jamais tomber cette sale tradition. Surtout que maintenant c’est lui qui en profite.
_ Alors si tu ne le fais pas, continua la blonde dans une voix où l’on sentait très nettement son épuisement, c’est lui qui finira par nous prendre notre virginité. Et ça nous ne le voulons pas. Surtout pas lui.
_ Je t’en prie Harry ! Nous voulons que tu le fasses. Nous ne serons plus vierges quoi qu’il arrive. Et nous préférons que ce soit par toi. S’il te plaît ! Lui ne nous laissera pas le choix. »

Harry se doutait bien que Malefoy n’en resterai pas là, qu’il prendrait sa revanche sur les fillettes et qu’il ne pourrait pas les protéger tout le temps. Les jeunes serpentards lui jetaient des regards implorants et il s’étonnait que la fermeture éclaire de son pantalon tienne encore. Oui. Il ne pouvait qu’accepter. Mais il ne parvenait pas à prononcer un mot. La petite blonde prit alors la parole.

« Tu sais Harry, nous aimons toutes les deux beaucoup les garçons. Mais en fait nous préférons les filles. »

Elle leva la tête et embrassa sa camarade avec passion. Elle posa une main sur la poitrine de la brune mais deux doigts lui suffirent à masser l’un des petits seins. Harry reçut un nouveau choc en regardant les deux fillettes s’embrasser tendrement. Elles décollèrent leurs lèvres.

« Les relations homosexuelles sont interdites chez les sangs purs de serpentards, reprit la blonde tout en continuant à caresser la poitrine de son amie. Les sangs purs doivent reproduire leur lignée. Souvent, les filles ne sont considérées que comme des poules pondeuses. C’est pour ça que nous avons refusé de nous soumettre à la tradition. Mais nous ne pourrons pas leur tenir tête encore très longtemps. »

La petite blonde descendit la main sur le ventre de son amie puis sur les cuisses qu’elle écarta doucement. Elle se laissa glisser, le seul mouvement qu’elle pouvait apparemment encore se permettre, pour s’allonger sur le sol et positionner sa bouche au niveau du trésor intime de sa camarade. Elle sortit sa langue pour parcourir la fente de haut en bas et s’introduire légèrement entre les lèvres intimes. La petite brune rejeta la tête en arrière en gémissant et ferma les yeux en caressant doucement les cheveux de son amante.

    Harry n’y tenait plus. Il se déshabilla rapidement et entra sous la douche. Il passa une jambe par dessus la blonde et présenta son sexe à la brune qui lui souriait d’un air malicieux. Elle prit le sexe dans la bouche et se mit à faire des mouvements frénétiques. Harry fut surpris mais se douta très vite que la fillette devait essayer de lui faire plaisir en imitant les mouvements violents que lui avaient imposé Malefoy plus tôt, pensant sûrement que c’était ce qu’aimait les garçons. Il attrapa la tête durant l’un de ses passages rapides, comme un gros vif d’or, et l’arrêta. La gamine leva des yeux interrogateurs. Harry la guida dans des mouvements plus lents et plus langoureux. Il apprécia la douceur des lèvres et de la langue sur son membre raide qui devint enfin moins douloureux. Il regardait la petite tête aux cheveux courts aller et venir sur son sexe. L’eau ruisselait sur son bas ventre et sur le doux visage de la fillette avant de s’écouler sur sa poitrine menue, de glisser sur son ventre plat et de finir en chute sur son intimité et la bouche de la petite blonde qui s’en régalait. Harry sentit un éclair le traverser et il éjacula dans la petite bouche qui s’arrêta pour recueillir tout le nectar.

    Il s’accroupit à côté de la blonde et embrassa tendrement la brune qui l’entoura de ses bras. Il massait les petits seins d’une main et y descendit ensuite sa tête pour les lécher. Il prit un téton entre ses lèvres et tira légèrement dessus. La fillette gémit en posant une main sur les cheveux d’Harry. Elle courba la tête et promena sa langue sur la nuque du garçon. Il caressa les longs cheveux de la petite blonde puis il glissa sur son dos avec lenteur. Il lui flatta les fesses et la sentit frémir. Sans cesser de dévorer l’entrejambe de son amie, elle empoigna le membre de Harry et se mit à le masturber en douceur. Il redevint très vite dur tandis que la petite brune poussa un cri de jouissance et que son amante bu de longue gorgée de son jus de plaisir. Elle se redressa ensuite avec difficulté et Harry la soutint de son bras libre. Elle prit le sexe dressé entre ses lèvres en se tournant sur le côté. Harry contourna ses hanches et posa ses doigts sur l’intimité de la petite blonde. Il massa le petit abricot doré puis l’explora un peu plus en profondeur. Il atteint l’hymen et le caressa du bout des doigts. La petite brune s’était assise face à eux, adossée au mur et se masturbait en regardant son amie s’occuper de Harry.

    Elle prit soudain son amie par les épaules et la tira vers elle. La blonde lâcha le membre avec dépit et s’allongea sur le dos entre les jambes de sa camarade, posant la tête sur le pubis de cette dernière. Elle entrouvrit légèrement les jambes. Harry contempla le petit corps qui lui était offert. Il s’avança à genoux en faisant glisser ses mains le longs des jambes fines. La petite blonde frémit en le regardant avec une certaine appréhension tandis qu’il s’asseyait sur ses talons et qu’il soulevait son bassin pour le mettre à la hauteur du sien. Les fillettes avaient une vue claire des deux sexes qui se frottaient l’un contre l’autre. La petite brune regardait le spectacle avec envie et elle gémit même à la place de sa camarade lorsque Harry pressa son gland contre les lèvres intimes et commença à s’enfoncer dans l’intimité avec douceur. La petite blonde ferma les yeux, pinça les lèvres et serra ses mains sur les cuisses de son amie qui regardait avidement le pieu descendre avec lenteur dans le ventre de son amante en lui caressant tendrement les cheveux. Harry buta contre la paroi intime. Il donna un coup de rein et la gamine poussa un cri. La petite brune gémit également en sentant la nuque de sa camarade donner une secousse sur son intimité. Elle regardait un filet de sang s’écouler lentement du coquillage de son amie tandis que Harry allait et venait en douceur dans le fourreau étroit. La petite blonde gémissait sous les coups de reins de Harry et sous les caresses de son amie qui laissait ses doigts aller sur sa poitrine encore plate mais aux tétons fièrement érigés. La petit brune faisait de légers mouvements des hanches pour frotter son petit abricot contre les cheveux de son amante, les recouvrants de jus de plaisir.

    La petite blonde lança un grand cri tout en déversant une grande quantité de sa liqueur d’amour. Harry sentit aussitôt un nouvel éclair lui vriller la colonne vertébrale et il se retira vivement. De longs jets de sperme se répandirent de la tête de la brune à celle de la blonde. Cette dernière, encore haletante, s’efforça de se mettre sur le ventre puis se mit à nettoyer consciencieusement le corps de son amante avec sa petite langue avant que l’eau de la douche n’efface les traces du délicieux nectar. Harry s’assit, dos contre la porte de la cabine, et souffla un peu en regardant les fillettes se laver mutuellement le visage. Elles s’avancèrent ensuite vers lui, la brune aidant sa camarade. La petite blonde s’allongea à plat ventre entre les jambes du jeune gryffondor et laissa sa langue courir le long du sexe encore vaillant qui venait de la faire femme. Sa camarade se plaça debout face à Harry en lui offrant toute son intimité. Il avança la tête et se mit à lécher tendrement le joli coquillage et le pubis encore glabre. Il saisit les petites fesses rondes et se mit à les masser avec lenteur, au rythme de sa langue sur le bouton d’amour gonflé. La fillette avait plaqué son torse contre le mur et gémissait en ondulant des hanches tandis que la petite blonde goûtait à présent les bourses de leur amant en masturbant le membre viril. De son autre main elle introduisait deux doigts dans son intimité ouverte, savourant la profondeur qu’elle atteignait désormais.

    La petite brune s’écarta du mur et se mit à glisser lentement vers le bas, frottant son sexe sur la poitrine et le ventre de Harry. Ce dernier sentit la blonde s’écarter de leur couple, laissant sa camarade tout à son plaisir. La petite brune s’était agenouillée face au jeune gryffondor et le regardait avec un petit sourire qui ne parvenait pas à cacher son trouble et son appréhension. Elle enserra Harry de ses bras et posa sa tête sur son épaule, joue contre joue. Il sentait les muscles de son visage se crisper tandis qu’elle descendait ses petites fesses et que son beau coquillage se posait sur le gland. Elle voulait apparemment décider d’elle-même quand elle s’empalerait sur le membre viril. Harry respectait son choix et il lui caressa tendrement le dos pour la rassurer. Il sentait le regard attentif de la petite blonde sur eux. Le souffle de la fillette devint plus saccadé et plus fort tandis que le dard écartait les abords de ses lèvres intimes. Puis elle donna subitement un grand coup de rein et s’abattit complètement sur le sexe dressé. Elle poussa un grand hurlement de douleur tandis que Harry se retenait de jouir immédiatement, surpris par la rapidité de l’assaut. La gamine resta prostrée contre le corps du garçon, ses larmes s’ajoutant aux zébrures de l’eau sur son torse. Harry lui releva la tête avec douceur et l’embrassa tendrement. Il descendit une main sous son petit cul et la fit se soulever un peu. Il la guida, comme lors de sa première fellation, et lui fit faire des mouvements beaucoup plus doux. La fillette poussa de petits gémissements de douleurs. Cependant, peu à peu, elle montait et descendait d’elle-même et finit par se passer de la main de Harry sur son petit cul qui se contenta alors de le caresser en accompagnant le va et vient de la petite brune. Le jeune gryffondor embrassait les petits seins de sa partenaire dès qu’ils étaient à hauteur de sa bouche. Il lui semblait que le sexe de la brune était encore plus étroit que celui de sa camarade et il sentit le plaisir monter en lui. Il voulut se retirer mais la fillette se laissa tomber complètement sur les cuisses de son amant et se serra contre lui. Harry se doutait qu’elle avait déjà appris le sortilège de prévention et celui d’avortement et ne s’inquiéta plus. La gamine avait fiché le membre viril le plus profondément possible dans son petit ventre et le garçon s’y répandit avec plaisir en embrassant les lèvres exquises de la brune. Sous les caresses de la langue de son amant, et sentant le nectar chaud s’écouler en elle, la petite serpentard n’y tint plus et jouit en lâchant un flot de jus de plaisir.

Les deux amants restèrent serrés l’un contre l’autre, ne faisant toujours qu’un, en s’embrassant de reconnaissance mutuelle. Ils sentirent soudain une petite langue se promener sur leurs sexes joints, recueillant leurs semences emmêlées. La petite brune retira son étroit fourreau du membre viril et laissa sa camarade le prendre à pleine bouche. La gamine se leva et attrapa un savon avant de s’agenouiller à côté du couple. Harry ne tarda pas à jouir à nouveau dans la petite bouche gourmande, s’étonnant de pouvoir encore déverser autant de sperme. La petite brune prit la tête de sa camarade à pleine main, la retira doucement du membre viril qui faiblissait et l’embrassa avidement. Les deux fillettes se partagèrent le nectar de leur amant tout en emmêlant leurs langues. Harry caressait les deux petits corps avec douceur. Il fut content de constater qu’ils rayonnaient de chaleur. La petite brune se redressa un peu et prit le savon. Elle commença à frictionner le sexe de leur amant. La blonde se mit également à frotter le membre au repos, tirant la peau pour ne pas oublier de laver le gland. Harry se laissa aller contre le mur et savoura les mains coquines qui le nettoyaient. Il laissait ses doigts aller sur la peau douce du petit cul de la brune et parcourait les longs cheveux de la blonde. Cette dernière massait maintenant les testicules en les faisant mousser tandis que son amie masturbait le membre en caressant le bout du gland avec la face lisse du savon. Harry se sentit grandir à nouveau tandis qu’il introduisait deux doigts dans le petit abricot de la brune qui gémit en resserrant ses doigts sur le dard glissant. Elle tortilla ses hanches, ravie, en embrassant langoureusement son amie.
Elle jeta ensuite un regard étrange à Harry. Elle retira les doigts du garçon de son intimité et les lécha avec délice. Elle fit ensuite allonger la petite blonde sur le dos puis elle se positionna à genoux au dessus d’elle. Elle posa sa petite poitrine sur celle de son amante mais maintenait son joli petit cul en hauteur. Elle regarda le jeune gryffondor.

« Harry ! Il reste un endroit où je suis encore vierge. Ils n’hésiteront pas à passer par là aussi. »

Harry avait secrètement espéré qu’elle lui ferait cette demande, bien qu’il considérait qu’avoir prit les deux virginités des gamines lui étaient déjà largement suffisant. Il ne se fit cependant pas prier et alla se placer derrière la fillette. Celle-ci embrassait langoureusement sa compagne comme si de rien n’était mais Harry la sentit frémir lorsqu’il posa ses mains sur ses hanches. De toute évidence, elle n’avait pas très envie qu’un garçon ou quoi que ce soit d’autre passe par son puit secret. Seule la répugnance que lui inspirait Malefoy, Crabbe et Goyle la décidait à offrir ses petites fesses à Harry. Celui-ci eut un peu de remords en s’agenouillant devant le petit anus. Mais il savait que les serpentards eux, n’auraient aucun scrupules à forcer ce passage là.

    Il caressa tendrement les deux globes de chair pour rassurer la gamine qui tentait, sans vraiment de conviction, de ne pas s’en préoccuper. La petite blonde, malgré son état d’épuisement avancé, leva un bras et se mit à caresser le petit abricot de son amante en lui souriant. Harry écartait maintenant les petites fesses rondes et posa son gland sur l’anneau serré. Il pensait même ne pas pouvoir entrer tant l’anus lui semblait petit mais il donna un petit coup de rein qui le fit pénétrer jusqu’à la garde qui arracha un hurlement aigu de douleur à la petite brune. Harry se rappela que son sexe était enduit de savon et qu’il glissait comme un rien. Horrifié d’avoir si violemment pénétré la fillette, il lui murmura quelques mots d’excuse. Puis il se mit à faire de doux mouvements de va et viens, bien décidé à rattraper son erreur en donnant du plaisir à la petite serpentard. La blonde s’activa également plus vite dans le joli coquillage de son amie et lécha les larmes qui coulaient sur ses joues si douces. La petite brune poussait des gémissements de douleurs mais sous les caresses de son amie et grâce à l’application dont faisait preuve Harry, elle commença à lâcher de petits cris de jouissances. Elle embrassa son amante avec passion et descendit une main sur son petit sexe pour lui rendre ses tendres caresses. Elles se masturbèrent l’une l’autre en s’embrassant de plus belle tandis que la petite brune ruait maintenant sur le membre du jeune gryffondor. Harry lâcha les hanches de la fillette et introduisit deux doigts dans son intimité, rejoignant ceux de la petite blonde. Il descendit son autre main et se joignit cette fois-ci à la brune pour pénétrer le coquillage doré. Il savoura les mouvements de ses doigts et de ceux des gamines dans les deux abricots qu’il avait lui-même ouverts. Les deux petites serpentards crièrent leur plaisir en même temps. Leurs doigts quittèrent leurs sexes tandis qu’un flot de jus de plaisir inondait ceux de Harry. La petite brune sembla s’affaisser sur sa camarade mais elle se redressa courageusement et demanda au jeune gryffondor de continuer. Il s’activa de plus belle entre les petites fesses de la brune qui continuait de pousser des gémissements de plaisir. Puis il se figea et se déversa dans le dos de la gamine qui s’allongea ensuite sur le corps de sa camarade.

    Elles étaient toutes deux à bout de forces, particulièrement la blonde qui s’endormit soudainement, tendrement enlacée contre son amante. Harry ramassa le savon et se mit à laver les corps des deux fillettes, s’attardant plus que de raison sur les petits sexes, au grand plaisir de la brune et dessinant un sourire sur le visage paisible de la blonde. Il se lava ensuite lui-même puis coupa l’eau de la douche. Il alla prendre des serviettes et essuya en douceur les petites serpentards. Puis ils durent réveiller la dormeuse pour qu’elle s’habille. Avant de revêtir leurs robes, la petite blonde lança un sort de prévention sur le ventre de sa camarade. Ils remirent ensuite la cape d’invisibilité et ouvrirent la porte. Ils l’avaient à peine franchit qu’un garçon de quatrième année arriva au bout du couloir en peignoir de bain. Bien qu’elles furent totalement réchauffées, les deux fillettes restaient collées à Harry, chacune d’un côté. Ils sentaient les petites mains se poser sur ses fesses et sur son membre qui avait à nouveau du mal à rester tranquille. Le jeune gryffondor lui-même avait relevé l’arrière de la robe de la petite blonde pour caresser la douceur de son petit cul et avait passer un bras autour des épaules de la petite brune, plongeant ensuite dans le col baillant de sa robe et massait tendrement les petits seins. Il les ramena jusqu’à leur dortoir. Elles embrassèrent chacune langoureusement Harry puis elles s’allongèrent sur leurs lits respectifs et s’endormirent.

    Le soir, Harry s’excusa devant Ron en prétendant que Rogue et Rusard ne cessaient de patrouiller dans le couloir de la sorcière borgne et qu’il n’avait aucune chance de passer devant eux sans se faire repérer. Il observa la table des serpentards et remarqua que Malefoy, Crabbe et Goyle parlaient à voix basse en jetant des coups d’œils bizarres aux deux fillettes qui lui sourirent discrètement. Puis elles tirèrent la langue à Malefoy qui se tourna, faisant comme s’il n’avait rien remarqué. Plus tard, en les croisant dans un couloir vide, Harry demanda aux filles si tout allait bien.

« Oh oui ! Répondit la petite brune avec un grand sourire. Tu ne vas pas le croire mais Malefoy pense que c’est nous qui l’avons neutralisé dans la clairière.
_ Tu imagines, reprit la blonde, si les autres apprenaient qu’il a été battu par des premières années ? Des filles en plus.
_ Du coup il ne nous a pas touché à condition que l’on ne parle pas.
_ Mais alors, s’exclama Harry d’un air dépité, vous n’aviez pas besoin de perdre votre virginité. Cela aurait causé plus de tort à Malefoy si les autres avaient compris qu’il ne vous avez pas touché.
_ Non, fit la blonde, ils se seraient tous ligués contre nous. Et Malefoy aurait eu alors tout le loisir de se venger. Tandis que maintenant, il est coincé. Bien sûr les autres nous forcent à coucher avec eux avec cette fichue tradition. Mais tant que Malefoy et les deux idiots qui le suivent en sont privés, c’en est presque drôle. »

Harry semblait toujours dépité.

« Je crois que je n’aurai pas dû faire ça avec vous. Ça n’a servit à rien.
_ Tu crois ? » Répondit la petite brune avec un sourire malicieux

Elle se leva sur la pointe des pieds et l’embrassa tendrement. La petite blonde fit de même puis elles s’en allèrent vers leur prochain cours. En les voyant partir avec entrain, Harry se sentit immédiatement mieux. Puis il se souvint qu’il avait également un cours et se hâta vers la salle de classe.


14/12/2007
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