XLOVE59-BOY

Harry potter version SEX !!!!

CES CHAPITRE DU TOMES 5 SONT

 

DECONSILLER  AUX MOINS DE 16 ANS !!!

(contenue  pornographique)

je ne suis pas reponsable de ce qui suit c'est de la source d'un visiteur

CHAPITRE 1 : Entrainement
 
C'était bientôt la fin des vacances et aussi le jour de la rentrée à Poudlard. Un sentiment d'excitation et d'impatience se mêlait dans le cœur de Harry. Il allait pouvoir revoir une partie de ses amis comme Hermione ou Cho !
Quand à Ron et toute la famille Weasley, Harry avait passé les vacances chez eux, c'est-à-dire au terrier. Il n'avait pas voulu retourner chez son oncle et sa tante et les parents de Ron s'étaient arrangé avec eux pour qu'ils puissent le garder pendant les grandes vacances. Les Dursley pensaient sûrement que c'était un bon débarras ! En tout cas, Harry était content de ne pas passer les deux mois sous l'escalier de la petite maison de Privet Drive.
 
C'était le soir. Dans deux jours, toute la famille Weasley et Harry irai retrouver le quai 9 ¾ pour rejoindre le château Poudlard. Toute la famille venait juste de manger et les deux garçons montèrent dans leur chambre après avoir dit bonsoir aux autres.
Harry s'écroula sur son lit et Ron en fit de même.
- Bon, je crois que je vais bien dormir ! Dit ce dernier.
Ils avaient chassé du gobelins toute la journée et n'en pouvaient plus.
- Ouais, je crois que tu as raison ! Répondit Harry.
Ron enleva son tee-shirt et une fois torse nu, il se mit sous sa couette pour enlever le bas. Harry en fit de même mais ne se mit pas sous sa couverture. Il ne trouvait pas cette méthode très pratique et se foutait que Ron le voit en sous-vêtement. C'était seulement à ce moment là qu'il se recouvrait de ses draps que pour enlever son caleçon.
Il retira son pantalon après avoir ôté ses chaussures : il était maintenant en boxer. Celui-ci était bleu turquoise et moulait bien son sexe. 
Ron fixa sa virilité pendant un cours instant. Harry avait déjà remarqué qu'à plusieurs reprises son copain avait tenté de voir plus en détail son pénis moulé par ses boxers ou ses slips. Le jeune homme à la cicatrice sur le front eut une idée : il tira le drap de son copain pour rigoler… et pour voir se qui s'y cachait dessous… 
Ron fut surprit et ne pu retenir la couverture. Il portait un slip blanc à rayure bleu. Harry fut interpellé par la bosse que formait son sexe sous le tissus.
- Mais… tu bandes ? lui demanda-t'il.
- heu… bafouilla Ron qui ne savait quoi répondre.
- Attend… dit Harry.
Le jeune homme s'approcha du lit de son ami et mit une main sur chaque cuisse de façon à lui écarter un peu les jambes.
- Eh… Qu'est-ce que tu fais ? lui demanda Ron.
- Ne t'inquiète pas… Tu sais, ni toi ni moi sommes sortis avec une fille depuis longtemps… si cela nous arrive cette année, pourquoi pas nous entraîner… 
- Tu as peut-être raison… Dit Ron. Va-y, mais… c'est que je n'ai jamais vraiment...
Harry ne le laissa pas finir et sentit que les jambes de son copain se décrispaient. Il en profita pour les écarter un peu plus et se pencher au dessus du sexe caché par le slip. Harry posa la main sur la virilité de Ron et la caressa au travers du tissus. Le pénis de son ami n'avait pas l'air très gros car même gonflé il ne remplissait pas complètement le slip rayé.
Harry posa sa bouche sur ce qui semblait être les boules de Ron et déposa un baisé. Le jeune rouquin fut parcouru par un long frisson. Harry remonta avec sa bouche vers l'élastique du slip et prit entre ses dents l'extrémité puis tira dessus pour enlever le sous-vêtement de son ami. Le tissu glissa le long des jambes pour laisser à découvert une bite d'environ 14 cm (il est vrai qu'elle n'était pas énorme, mais ça suffisait à Harry) bandée à mort. Il remonta avec ses lèvres jusqu'au boules et les aspira dans sa bouche. Une sensation étrange parcourait les deux jeunes hommes qui n'avaient jamais eut de rapport aussi bien avec une fille qu'avec un garçon. Une fois l'aspiration des testicules faite, Harry pris le sexe de ron et le mit entièrement dans la bouche. Il joua avec en le faisant glisser contre sa joue avant de commencer à le sucer. Ron poussait maintenant des petits gémissements, et Harry encouragé par ses bruits redoubla les fréquences de va-et-vient avec sa bouche. Il sentit alors le sexe de son copain gonfler et entendit un murmure de celui-ci. Harry n'eut pas le temps de s'enlever et le sperme gicla sur sa joue. Il se l'essuya avec sa main et Ron se remit assis sur son lit.
- Ah… Je ne pensais pas que ça faisait autant de bien. Dit-il.
Il regarda le boxer de Harry tendu comme un chapiteau témoignant de son érection et dirigea sa main en direction de sont sexe. Il l'atteignit alors et le déshabilla. Il poussa alors Harry de façon à ce qu'il s'allonge sur le lit.
- Je vais essayer quelque chose… Dit il.
Prit dans l'action et l'euphorie du moment, Ron pris le pénis de Harry et en le maintenant droit il s'assit dessus de façon à ce qu'il le sodomise. Le bout de celui-ci rentra dans l'anus du garçon et celui-ci ne pu retenir un cris de douleur. Malgré les brûlures que ressentait Ron, il voulu continuer et s'assit encore plus sur le sexe bandé. Il poussa un soupir en remontant et redescendit immédiatement. Les vas et viens s'enchaînèrent et Ron ne sentait plus que du plaisir. C'était la première fois que Harry pénétrait quelqu'un, il était comme un fou et sa semence n'allait pas tarder à sortir. C'est dans un rugissement qu'elle sortit sans qu'il ne pu alerter son ami. Le sperme s'écoula dans son anus et celui-ci épuisé par les vas et viens se reposa toujours emmanché par Harry. Ce ne fut qu'au bout de quelques minutes qu'il se dégagea du lit, essuya le sperme qui coulait un peu de son anus avec une serviette et regagna son lit. Les deux apprentis sorciers s'endormirent alors comme des masses.
CHAPITRE 2 : Ginny
Le lendemain matin, Ginny monta l'escalier du Terrier un peu énervée d'être obligée de réveiller les deux garçons alors qu'elle n'avait pas eut le temps de petit-déjeuner. Elle s'avança devant la porte de la chambre et tourna la poignée pour rentrer. Une fois à l'intérieur, elle s'apprêta à crier de façon à réveiller les deux jeunes hommes mais ce qu'elle vit lui enleva toute voie. Son frère, Ron était allongé sur le dos complètement nu lui laissant entrevoir son sexe. Elle regarda alors Harry qui lui aussi était nu mais qui était sur le ventre, cachant ainsi son intimité.
« C'est dommage ! » pensa t'elle.
 En effet, Ginny était amoureuse de Harry depuis qu'il avait fait irruption dans le Terrier l'été dernier, lorsqu'elle avait 12 ans. Elle s'approcha de son frère pour contempler l'anatomie d'un homme plus en détail et se pencha au dessus du lit. Le pénis du garçon reposait sur un duvet de poils roux que la jeune fille tata du bout de ses doigts.
« Non, arrête, c'est ton frère tout de même ! » lui reprocha sa conscience.
Ginny prit alors ses jambes à son cou en jetant un dernier coup d'œil sur son amoureux.
« Quelle paire de fesses ! » pensa elle. 
Elle sortit de la chambre et tambourina sur la porte pour faire réveiller les garçons :
« Aller, tout le monde debout la dedans !!! cria t'elle.
- Oui, oui, on a comprit ! lui répliqua Ron, réveillé par le vacarme. »
 
Pendant toute la journée, ils  firent leurs courses de rentrée scolaire et Harry fut de nouveau gêné lorsqu'il du ouvrir son coffre à Gringotts pour récupérer des gallions, tellement ceux-ci étaient présents dans son compte par rapport à la famille Weasley. 
 
Ils furent rentrés au Terrier à la tombée de la nuit pour avoir juste le temps de prendre une douche. Ron s'absenta donc pour accomplir cette tâche si dur que de se laver…
Pendant ce temps, Harry se posa sur son lit pour feuilleter un magazine de quidditch quand il entendit frapper à sa porte. Ginny entra dans la petite pièce. Elle avait beaucoup changé depuis leur première rencontre l'année dernière : sa poitrine avait doublée de volume et ses hanches avaient prit beaucoup de formes. C'était maintenant un femme plus que désirable et Harry ne pouvait cacher le petit faible qu'il avait pour elle. Celle-ci s'avança donc vers lui et lui dit :
« J'espère que je ne te dérange pas… 
- Non, non, vas-y, assis-toi à côté sur le lit. Lui répondit Harry. »
La jeune fille s'avança donc et avant que le jeune homme puisse dire quoi que ce soit, elle l'embrassa. Harry se laissa faire, il aimait sentir le contact de sa langue sur la sienne et son sexe se raidit en ressentant la poitrine de la jeune femme sur son torse.
Celle-ci glissa la main sous le tee-shirt de Harry, bien décidée à aller plus loin et le lui retira. Elle le fit allonger sur le lit et s'assit au niveau de ses genoux. Elle remarqua la bosse que faisait le sexe de son amant sous son pantalon et ôta son débardeur. Elle portait un soutien-gorge noir qui laissait apparaître une grande partie des ses seins que Harry n'allait pas tarder à découvrir puisqu'elle retira le morceau de dentelle les cachant. Sa poitrine était bien ferme et bien modelée. Le jeune homme croyait rêver. Il allait faire pour la première fois l'amour avec la sœur de son meilleur ami ! Elle secoua ses cheveux roux et entreprit de dégrafer les boutons du pantalon de Harry. Celui-ci était dans tous ses états ! Il frémissait en sentant les doigts de la jeune fille érafler son sexe à travers le tissus. Une fois l'opération terminée, elle se redressa et se leva des genoux de Harry pour pouvoir faire glisser son pantalon et enlever le sien. Elle portait un joli string noir assortit au soutien-gorge et Harry, lui, avait un slip blanc avec un petit élastique de la même couleur. Son sexe était tellement gonflé qu'il l'avait mit sur le côté pour ne pas qu'il dépasse. Ginny entreprit alors de malaxer le pénis de Harry et baissa son string. Sa chatte était entièrement rasée ce qui laissait apparaître bien nettement son sexe. Elle enleva alors le slip de Harry laissant apparaître sa bite de 17 centimètres. Celui-ci prit de pulsion renversa sa compagne pour se retrouver dessus. Cette dernière poussa un petit cri de surprise quand le jeune homme se mit à caresser son intimité tout en lui déposant des baisers sur la poitrine. Il descendit alors plus en bas vers la cavité humide et commença à exciter avec sa langue l'anatomie de Ginny tout en prenant soin de tourner autour avant de commencer. Les effets de ces coups de langue ne se firent pas attendre longtemps : déjà Ginny poussait des petits cris de plaisir.
La sentant fin prête pour passer à des choses plus sérieuse, Harry cessa son activité pour se coucher sur Ginny sexe contre sexe et commencer à la pénétrer. Cette dernière positionna ses jambes dans le dos du jeune sorcier et le rythme s'accéléra d'un coup. Elle avait du mal à retenir ses cris de plaisir et Harry rugissait comme une bête furieuse. Leurs deux masses en activité ne formaient plus qu'un seul corps ruisselant de transpiration. Soudain, le plaisir ultime survient pour les deux adolescents. Ils poussèrent un dernier cris de plaisir et Harry déversa sa semence sur la cuisse de Ginny. Ils restèrent là, emboités l'un contre l'autre pendant quelques instants jusqu'à que le bruit de la douche cessa.
« Vite, mon frère vient de terminer sa toilette ! S'affola la rouquine.»
Elle rassembla ses vêtements éparpillés sur le sol et se revêtit en vitesse. Avant de quitter la chambre, Harry la retient par le bras et l'embrassa fougueusement tout en se rhabillant lui aussi. Elle ne résista pas, bien au contraire…
Finalement, elle s'enfuit en s'assurant bien que le couloir soit vide avant de sortir.
Harry repensa dans sa douche à ce qui venait de se passer et il se dit que finalement, il avait beaucoup de chance qu'elle l'aime aussi. En effet, les sentiments que portait Ginny pour Harry depuis la première fois qu'ils s'étaient rencontrés étaient réciproque. Son histoire avec Cho Chang n'avait pour but que de lui faire oublier la belle rousse, mais qui finalement lui la rappela en mémoire.

Le B.A. BA du sexe : Partie I : B comme Baise
 
Salut tout le monde ! C'est moi ! Comment ça « qui moi ? » Vous savez le type brun aux yeux vert qui a déjà sauvé une fois le monde des sorciers de la menace du serpent-psychotique-de-service-même-qu'il-s'appelle-Voldy. Vous me remettaient ? Non ? POTTER ! HARRY POTTER (et moi je suis Bond, James Bond) ! ça vous revient ? oui ? bon ! je peut donc continuer à vous raconter mes petites histoires. De quoi ? de ma vie sexuelle bien sur…
…Qui a dit « sans intérêt » ! Sachez que je suis comme qui dirait une bête de sexe moi, mossieur, je suis un dieu de la baise moi, mossieur. Avec en plus un corps de rêve, sculptural, finement musclé, des fesses fermes, une belle gueule et un attirail des plus intéressant (je vais bientôt pouvoir naviguer sur une mer de bave moi si ça continue).bref, place à l'histoire
 
 
Chapitre I : Vive les copains
 
Ce matin, je suis crevé. Et en plus cour de potion. J'en ai marre de cette matière ; pourquoi faut-il toujours qu'elle vienne gâcher les deux premières heures du lundi matin. En plus, j'aime pas les lundi, en plus il fait toujours moche comme pour nous rappeler qu'il faut travailler. Bon, d'accord, on est en Septembre et en Angleterre alors forcément… C'est comme qui disait l'aut là, le chanteur français, Cloclo, je crois « le lundi au soleil, c'est une chose qu'on verra jamais ». Franchement, quel idée de s'appeler Cloclo, sa mère devait vraiment pas l'aimer. En fin bref, tout pour dire, que j'aime pas les lundis, c'est le début de la semaine et si nous, les élèves, on est fatigués après notre week end, les profs, eux, semblent toujours d'excellente humeur, ce qui se traduit chez Rogue par un enthousiasme quasi sadique à martyriser les Gryffondors en général et moi en particulier. Enfin, ça avait au moins un avantage, c'est qu'il déprimait tellement le vendredi qu'il ne donnait jamais de devoir le week-end, ce qui était déjà pas mal.
Donc, on est lundi, il est huit heures, et je m'avance résolument vers les cachots. Je sens une main se poser sur mon épaule. C'est Ron qui me sourit pour me réconforter. Je souris aussi mais ça ressemble plus à une grimace qu'autre chose. Y'a des jours ou je me demande comment il fait pour être aussi frais le matin.
Mon petit roux est fais comme un gardon alors que moi j'ai des valises grosse comme celles que j'emporte habituellement à Poudlard et que je baille presque toute les minutes. Je suis aussi un peu jaloux de sa résistance. C'est un peu sa faute si j'ai pratiquement pas dormi de la nuit, nuit qui en passant était plutôt torride. Autant Ron a une super endurance au lit, contrairement à moi, autant c'est quand même moi qui le fait le plus grimper aux rideaux – ceux du lit à baldaquin, s'entend. Il faut vraiment que je travaille cette endurance, parce que c'est pas avec ma gueule du matin que je vais attirer un gentil pompier sorcier pour étendre le feu que j'ai au cul.
Bref, Ron me fait un sourire pervers ce qui fait ressurgir quelques souvenirs de la nuit.
 
###Flash back###
 
Je monte et je descends sur le membre dressé de Ron. Ce con me tripote l'engin depuis pas mal de temps et le plaisir que j'éprouve m'empêche de me concentré.
- Tu mollis Harry, je t'ai connu plus vigoureux.
- Ta gueule, ou je te préviens, que je te laisse en plans.
- Cause toujours, je sais parfaitement que tu serais le premier à mourir de frustration.
Comme pour illustrer c'est dire, mon couillon de meilleur ami et amant à ses heures perdues, prends mes hanches et commence à me soulever. Putains de réflexes. Je me cramponne à ses fesses et fait revenir son sexe en moi.
- tu vois, qu'est ce que je te disais.
- Défonce moi mais surtout, tais-toi.
Je vois un sourire pervers sur ses lèvres. Merde, j'aurais mieux fait de me taire. Il reprend mes hanches, mais cette fois pour me tenir et bouge résolument des hanches, enfonçant son membre dans le tréfonds de mes entrailles. En plus il y vas pas mollo le salaud. Il s'enfonce jusqu'à la garde à toute vitesse, il me défonce quoi. N'empêche que je peux pas m'empêcher de gueuler mon plaisir. Vive les sortilèges d'insonorisation. Sinon tout le château aurait été au courent. Il continue son rythme pendant encore au moins dix minute – un record – avant de jouir en moi. Je sens sa semence me fouetter les entrailles et je jouis sans me toucher sur son torse et jusque sur son visage (Je tient à préciser que les IST n'existe pas chez les sorcier, mais ce n'est pas une raison pour les imiter : sortez couverts).
- Je me vengerais, je souffle.
- Quand tu veux, j'attend que ça
Il dit ça en caressant mon sexe avec une lueur d'envie. Il faut dire que je suis très bien monté – plus que lui – et qu'il est toujours content que je lui rende la pareil.
Je suis toujours emballer sur lui qui n'a pas débander – faut dire aussi qu'il ne débande quasiment jamais ou alors c'est que je le voit pas. Je me relève de toute ma hauteur sur les draps rouges et je le surplombe. Il est couche, les jambes tendus et les bras croisés derrière la tête et me regarde avec un sourire moteur.
- à moi que tu sois trop crevé.
- Nenni, cher ami, j'évalue la situation.
En vérité je flageole un peu, mais ça se voit pas trop.
Ron commence alors à se tortiller langoureusement entre les draps. Il porte un doigt à sa bouche, l'humidifie et se met à dessiner des arabesques sur sa peau. Là je lui saute carrément dessus et je lui roule un gros palot bien baveux auquel il répond avec plaisir. Cette fois c'est à moi e sourire sadiquement. Je sais comment je vais me venger.
- Tu va regretter ton coup de tout à l'heure.
C'est lui cette fois qui est inquiet. Rapidement et sans ménagement, je le retourne sur le ventre, le met à genoux et attache ses mais à la monture du lit grâce à un sortilège.
Faut dire que j'ai jamais arrêter mes escapades nocturnes et que, malgré ma première mauvaise expérience, je vais souvent voire ce qu'il y a d'intéressant dans les livres de la réserves. C'est un jour que j'ai trouvé un livre qui s'appelait, « Sex Yaoi Attitude ». Quand je l'ai ouvert, ça m'a fait l'impression d'adhérer une religion dont ce livre serait la bible. C'était un recueil, non seulement de positions mais aussi de sortilèges très utile comme celui pour attacher le partenaire au montant du lit – et en faire apparaître un si y'en a pas – , mais aussi pour faire apparaître du lubrifiant ou des objets SM et autres joyeusetés.
Je me suis donc servi de ce sortilège pour lié Ron au montant du lit, à genoux, le derrière bien cambré et je le regarde avec des yeux plein de gourmandise.
- Harry ?
Ron est inquiet. Nyark ! Nyark ! Nyark ! Douce vengeance. Sur ces mots, je poses mes mains sur ses hanches et enfonce mon sexe brûlant dans ses entrailles, sans le lubrifier. Ron pousse un cri et se tord.
- Putain Harry !
Moi je l'écoute plus et je commence à le défoncer à mon tour. Je me plaque contre son dos et pose mes mais de chaque cotés de sa tête. Je fais des mouvements désynchronisés, tantôt rapide, tantôt, lent, je fait des pauses. Lui, il gueule comme un cochon, mais je sais que c'est plus des cris de jouissance que des cris de douleur. Je décharge bientôt en lui alors qu'il avait joui depuis longtemps sur mes draps.
- Putain Harry, tu m'as fait trop mal.
- Il m'a pourtant semblé que tu appréciais.
- Pas faux…Oh, mais que vois-je, ton Popol baisse la tête. Il faut le redresser.
Et là il niche sa tête entre mes jambes et avale mon sexe.
 
###Fin flash back###
 
Après, on l'a fait encore six fois. Au bout d'un moment j'en peux plus moi. En fait c'est surtout le manque de sommeil qui me tue. Chuis une marmotte moi, faut que je dorme un minimum de huit heures par nuit. Et ce matin, je les faisait vraiment pas. Je me demande même si, mise bout à bout, mes heures de sommeil durant le week-end les font, les huit heures. Pas sur. Heureusement Hermione est toujours là pour s'inquiéter.
- Tu vas bien Harry ?
- Mmm
- J'espère que c'est censé vouloir dire oui
- J'en suis même pas sure.
Elle soupir et se tourne vers notre Weaslay national, Ron.
- Franchement Ron, tu n'es qu'un obsédé, si je compte bien, ça fait trois nuits que Harry ne dort pas correctement. Je te préviens, si tu te calme pas un peu, je lui passe ma chambre et toi tu reste dans le dortoir.
- Mais Mione ! Pourquoi tu pense que c'est toujours moi qui dévergonde Harry, il le fait très bien tout seul.
Mmh, pas faux. Pas faux aussi que j'ai absolument besoin de sommeil. Mais la chambre d'Hermione…et bein, je préfère pas. Parce que, malgré le fait qu'il ait trompé tout le monde, ma meilleur copine, était toujours fan de M. j'me-la-pète-chuis-l'plus-fort, j'ai nommé Gilderoy Lockhart, présentement pensionnaire à vie à St Mangouste, et qu'elle à rempli sa chambre de poster de lui. Immonde. Pour vous dire, je suis rentré une fois dans sa chambre, je suis ressortit aussi sec. Surtout que le voir me ramenait le pénible souvenir de sa tentative de viol à mon encontre quand il était professeur. C'est pas vraiment le viol qui me gène – et qui me gênait à l'époque – j'ait toujours été très précoce niveau sexualité – mais c'est surtout que c'était lui quoi. Avec un autre, j'dis pas, doit bien y'avoir des professeurs potables dans cette école, suffit de trouver. Flitwick, même pas la peine d'y penser et Binns, il est mort Y'a bien Rogue qui est sexy, mais bon, en plus du fait qu'on se déteste, son corps est la propriété des Maraudeurs – dont le nombre est passé de trois à deux depuis la morte de Queudver lors d'une partie SM avec Voldy, habillé en cuir, qui avait mal tourné, voldemord étant aussi adepte de la zoophilie et qu'il faisait en même temps l'amour à son serpent qui à mordu le petit Peter en jouissant ( ça jouit un serpent ?). Bref, il préférait éviter les foudres de son parrain et de sa marraine – Rémus, puisqu'il n'avait jamais eut de marraine et que celui-ci était à la fois très femme au foyer et mère poule – qui n'hésiteraient sûrement pas à le pulvériser s'il osait les cocufier.
Effectivement le cours est à chier. Merde mais qu'est ce qu'il a Rogue pour péter la forme comme ça en début de semaine. Avec c'qu'il a dut s'envoyer en l'air pendant le week-end, comment il fait pour être aussi frais que Ron – vaut mieux pas que je leur fasse pas part de la comparaison, ils risqueraient de se sentir mal tout les deux – Et puis en verve en plus.
- Eh bien M. Potter, on dirait que vous avez passé une mauvaise nuit, qu'à cela ne tienne, la potion d'aujourd'hui devrait vous remettre sur pied. Donc c'est vous qui la testerez
Rhaaaaaa ! Si y'avait pas les deux canins derrière, ça fait longtemps que je lui aurait fait son affaire à celui-là.
- Donc je pense que pour votre réussite, vous devriez vous mettre avec M.Malefoy.
Deux envies me tiraille en ce moment. Je l'embrasse ou je l'étrangle. Parce que, bien qu'il soit mon ennemi, Malefoy est quand même le mec le plus sexy de l'école, celui que tout le monde aimerait se taper. Et puis, une petite dispute par jour, c'est super, ça fouette le sang et ça réveille.
Merde. Il ne me parle même pas. Mais qu'est-ce qu'il a en ce moment. Je m'approche, je lui parle, il me répond à peine et presque poliment. Ohla, çui là, va falloir que je l'emmène à l'infirmerie.
- Attend Potter, tourne sept fois dans le sens des aiguilles d'une montre avant d'ajouter les feuilles de millepertuis.
-  Ne me donne pas d'ordre !
- T'as vraiment une sale gueule.
Bah, voilà, quand y veut, y peut.
- donc vaut mieux la réussir, si tu veux pas être dans un état pire encore à cause d'une potion raté.
Là ça dépasse le stade de la maladie. Il est bon à enfermer à Ste Mangouste. Malefoy qui se soucie de moi. Qui l'eut crut ? Pas moi en tout cas.
Bref, au terme des deux heures, la potion est finie et en plus elle est de la bonne couleur.
Rogue parait contrarié mais y dit rien, alors… Je prends un gobelet, la trempe dans la potion d'un beau rouge Gryffondor et la porte à mes lèvres. Je sais pas si c'est les lychees qu'on y a mit ou le chocolat, mais je me sens tout à coup vachement en forme et surtout très, très chaud. Putain, le con nous a fait faire un aphrodisiaque. Le professeur à l'air satisfait, tu parle, moi j'en mène pas large et je commence même à bander.
- le cours est finit, vous me ferait pour la prochaine fois un rouleau de parchemin sur cette potion et ses nombreuses utilisation et effets.
Moi j'en connais déjà un d'effet. La vache ! Ça dépote. Alors que tout le monde sort, je reste un peu et j'attends que Rogue ait le dos tourné pour sortir une fiole spéciale de ma poche – qui peut contenir des litres de liquides en gardant la même forme – et j'y verse le contenu du chaudron. Y faut pas gâcher les bonnes choses, ça peut toujours servir, notamment à rédiger ce fichu rouleau.
Le problème c'est- que j'ai toujours une trique d'enfer et rien pour la soulager. On à deux heure de trous jusqu'à midi. C'est bien le diable si je trouve pas un petit mec pour me soulager, merde. Je sais pas ou est Ron donc faut que j'aille voir ailleurs.
Je déambule donc dans les couloires. Ou plutôt, je furte et cherche de quoi assouvir mes désirs. Mais y'a personne, tout le monde est en cour et moi…ben moi…je commence à avoir mal. Je bande comme un malade et en plus ça se voit. Mais c'est pas ce qui me préoccupe pour le moment. Là, ce que je veux, c'est des fesses à baiser (Rhouuuuuuu qu'il est vulgaire le Nharry).
- Harry !!
Oh merde ! Colin Crivey ! Je pouvais pas plus mal tombé. Je parie à 1 contre 10 qu'il veut une photo de moi et que, dés qu'il va me voir, il va vouloir prendre mon érection sous tout les angles.
Tient, non ! Il a pas son appareil. Mais y veut quoi alors ?
- Sa…salut Harry…je te cherchais.
- Qu'est ce que tu veux Colin ?
Mon ton doit être agressif. Mais je m'en fou, j'ai les nerf et chuis en manque alors pour la politesse excusez-moi mais vous repasserez.
- en fait je voulais…
- oui ?
- Je voulais…
- Oui ?
Mais il veut quoi à la fin !!! Il prend une grande respiration et il se lance.
- Je veux d'offrir ma virginité.
Alors là, sur le cou chuis sur le cul, enfin, métaphoriquement parlant quoi. Chuis surprit, ébahi, ébaubie.
- Ok.
Cul pour cul, autant que ce soit celui de Colin. Quoi ? il est mignon. Blond, avec des yeux bleu transparent, une peau rose et un joli corps frêle. En plus je devine sous sa robe une jolie paire de fesse bien ronde. Bref, tout ce qu'il y a de plus pour un Harry qui plus est en manque et avec les effets d'une potion aphrodisiaque dans les veines.
Il me prend par la main et me guide jusqu'à une salle reculée. J'entre, il fait noir. Et là pour le coup je manque de crever d'une  crise cardiaque. La lumière s'allume et…
- Joyeux anniversaire Harry !!!!
Ouais, heureusement que chuis pas cardiaque. Dans la salle il y avait Dean, Seamus, Neville, et Ron qui tenaient une grande banderole.
- On s'est dit qu'on pourrait te faire une surprise pour ton anniversaire et on a décidé de monter ce petit cadeau.
Agru ? là j'le sens mal.
- Choppez le !
J'en était sure. Je savais qu'ils allaient me préparer quelque chose du genre. En plus, pour ajouter à la surprise, ils étaient nus derrière la banderole. La vue de leur corps m'à légèrement mis hors service pendant une fraction de seconde. Aïe, pas bon, ils se rapprochent. Je veux ouvrir la porte mais Colin, l'a magiquement fermé. Shit, j'ai pas le temps de prendre ma baguette. Ils sont sur moi. Neville me tient les jambes et Ron et Dean, les bras. Seamus se plante devant moi. Il bande très dure.
- Pour ton anniversaire Harry, on t'offre un viol collectif
- Quoi ! Mais ça va pas ? Lâchez-moi !
Bon, j'avoue, chuis encore plus excité et largement consentant. Mais un viol, comme son nom l'indique, ou pas, ça doit pas être consenti. Il se trouve qu'en plus de mes talents au pieu, je suis aussi très bon acteur. Mais aucun de mes amis n'est dupe. Ils savent, je sais qu'ils savent et ils savent que je sais qu'ils savent, vous me suivez ? bref, c'est un viol simulé.
Seamus, le blond écossais, se met à genoux en travers de mon ventre et arrache les pans de ma chemise.
- On va tellement te baiser que tu pourras plus te relever ;
Putain, comment il fait pour avoir une voix aussi érotique, merde ! C'est pas du jeu ! Comment il veut que je résiste si il me tente comme ça.
Il arrache brutalement mon pantalon et mon boxer. Ça y'est je suis complètement nu. Ron et Dean m'attachent les bras au pied d'une table. Ils sont nu tous les cinq. Ron, Seamus, Neville, Dean et Colin. Mes quatre voisins de dortoirs sont musclés. Pour Ron je comprends, c'est le gardien de l'équipe de Quidditch et il s'entraîne beaucoup pour mériter sa place, bien que je lui dise que c'est inutile. Je savais déjà que Seamus et Dean étaient musclés. Leur longue pratique du football avant Poudlard leur avaient value une solide armature et ils n'avaient jamais cessé de s'entraîner pour la renforcer. Le plus surprenant c'est quand même Neville. Nu, je ne peux plus voir en lui le jeune garçon gauche et grassouillet qu'il était en première année. Bien que toujours tête en l'air, ses connaissances en botaniques sont quasi illimitées et il battait même Hermione dans ce domaine. Ses journées en pleins soleils à s'occuper des jardins avec le professeur Chourave ont fait fondre ses bourrelets et forci sa carrure, il est devenu très séduisant. 
Colin, lui, allie la grâce et la beauté. Il se dégage de son corps frêle une fragilité et une pureté que dément la lueur lubrique dans son regard.
C'est Seamus qui commence. Son membre est raide. Je frissonne. Il écarte mes cuisses et prononce une formule. Un petit tube clair apparut dans sa main.
- Ron ! Tu lui as montré mon livre !
- Moi ? Mais pas du tout.
Tu parles, ce con a un sourire de deux kilomètres de long.
Seamus s'enduit le sexe de lubrifiant et le presse contre mon orifice avide. Il s'y enfonce comme dans du beurre.
- T'aimes ça hein ? Petite pute
- Les insultes, t'es pas obligé.
- Ca fait plus réaliste.
Rien à ajouter. Surtout que je ne peux plus rien ajouter. Alors que Seamus commence ses va et viens en moi, puissants et rapides, Dean à déjà prit ma tête pour y enfoncer son propre sexe. Il bouge des hanches et l'engin rentre et sort de ma bouche. Je sens Seamus accélérer, il est au bort de l'extase et moi je suis de plus en plus excité. Il se cambre et projette sa semence en moi. Mon sexe me fait mal tant il est tendu. Seamus se retire. Son sperme coule de mon intimité ce qui sert de lubrifiant à Neville qui le remplace. Dean jouit à son tour dans ma bouche. Je n'ai pas le temps l'avaler que Ron enfonçait le sien entre mes lèvres. Les mains de Neville me prennent les hanches et me retourne.
- Prévient, Neville ! Grogne Ron que j'avais failli mordre.
Neville ne dit rien mais il sourit. Il devient vraiment pervers. Mais où est-ce que ça lui ait venu ? Pas de moi j'espère !
Ron s'enfonce de nouveau dans ma bouche et Neville revient en moi. Il est plus doux que Seamus, ses mouvements sont cadencés et rythmé comme les saisons. Si j'étais en possession de ma bouche je sourirais de mon trait d'esprit, mais malheureusement, là je suis très prit. 
Alors que Neville et Ron me prennent, j'aperçois Dean et Seamus qui se masturbent. Mais où est passé Colin ? Un souffle sur mon sexe durci me renseigne. Sa langue commence à lécher mon gland. Je grogne, je gémis. Ron est plus expert en matière de sexe, il ne jouit pas aussi vite que Dean mais en gémissant, j'ai contracté mon palais sur son sexe et il s'est vidé en grognant. 
Son sperme et celui de Dean que je n'avais pas avalé coule entre mes lèvres. Toujours fiché en moi, Neville me remet sur le dos et s'immobilise, fait deux ou trois mouvements et jouis dans mon intimité. Á ce moment, Colin se met à califourchon sur moi et s'empale sur mon membre.
- Je croyais que tu étais vierge ! Je m'exclame.
- plus depuis ma deuxième année
- si tôt !
- t'avais le même age ta première fois.
Il commença à bouger des hanches lentement, langoureusement. Son intimité se contractait savamment autour de mon sexe. D'habitude, on appelle celui qui pénètre le dominant. Ben là j'avais plutôt l'impression que c'était lui qui menait le jeu et qui dominait. Pour la première fois depuis le début j'avais l'impression de me faire violer. Chacun de ses mouvements m'arrache un cri de plus en plus fort. Autour de nous, les quatre autres se masturbent en grognant.
Le sexe de Colin vibre devant mes yeux. Son anneau se serra une dernière fois. La pression atteint son paroxysme. Je jouis à l'intérieur de Colin tellement fort que mon sperme dégouline hors de son intimité. Dans un concert de grognements, Ron, Dean, Seamus et Neville, projettent leur semence sur mon corps fourbu.
Mon sexe toujours en lui, Colin se couche sur moi, sans prendre la peine de nettoyer mon torse. Le sperme se colle à ses cheveux blonds mais il s'en fout. Chacun de mes condisciples dépose un baiser sur mes lèvres en me souhaitant un joyeux anniversaire et se couchent contre moi, complètement crevés.
Je suis fatigué, couvert de sperme, j'ai mal aux fesses, mais chuis content d'avoir des copains comme ça.

souce : http://v-invasioncontinues.americantalk.net/



01/12/2007
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